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hommage à Bernard de Montréal
26 novembre 2016

Les dons du Saint Esprit

Bernard de Montréal

Richard Glenn 018a

Les dons du Saint Esprit


Richard Glenn :
Alors monsieur Bernard, j’introduisais la soirée - nous sommes prêts ? Nous commençons ? Parfait - sur les dons du Saint Esprit, en disant que dans la petite forme de la religion catholique on nous disait bien qu’on évoluait lorsqu’on était capable d’être à l’écoute du Saint Esprit, et comment ? Quand nous faisons comme par instinct tout ce que Dieu nous demande - quand nous faisons comme par instinct… par instinct ça veut dire pas raisonné, pas réfléchi, pas intellectualisé.

Bernard de Montréal :
Oui et bien ça c’est dangereux !
C’est dangereux parce qu’agir par instinct ce n’est pas agir par intelligence, c’est agir par intuition.

Et agir par intuition, quand on dit : s’ils disent-ce que Dieu nous demande, pour nous autres tout ce qui est invisible c’est Dieu, si on est sans dessin surtout, alors automatiquement si on agit par instinct, il y a des gens qui agissent par instinct, il y a des gens qui ont tué par instinct parce que Dieu leur demande de tuer, on a des cas, on les connaît ces cas-là dans les journaux, il y a des gens… il y a un type qui a détruit des œuvres d’art au Vatican parce qu’il se prenait pour le Christ, ce qui fait qu’agir par instinct c’est mal exprimé, parce qu’on n’a pas su employer le mot juste, le catéchisme ce n’est pas ésotérique, ce n’est pas occulte, c’est exotérique , c’est pour le peuple, pour les masses, c’est très bon, il faut que ce soit expliqué, et puis éventuellement quand les gens, quand le peuple devient de plus en plus évolué au niveau de sa propre conscience, au niveau de sa propre psychologie, quand les individus s’individualisent et qu’ils commencent à comprendre ou à essayer de comprendre par eux-mêmes, au lieu de comprendre par une super imposition d’une pensée qui n’est pas précise, à ce moment-là, les gens commencent à avoir des failles dans les mots, alors de dire que : « et bien écoute le Saint Esprit… » Comment est-ce qu’ils disent ça ?

Richard Glenn :
Oui c’est ça, c’est :
Quand nous faisons comme par instinct, tout ce que Dieu nous demande alors Bernard aurait dit quoi ?

Bernard de Montréal :
Alors par instinct, le mot instinct tout le monde se sert de ça !
Les animaux ont de l’instinct, les humains aussi ont des instincts, ce n’est pas par instinct qu’il faut agir, c’est par intelligence, c’est par intuition, l’intuition ce n’est pas un instinct !
Alors déjà le mot n’est pas juste, ce n’est pas un mot précis,

Richard Glenn :
Ils disent bien :
Comme par instinct, ils ne disent pas agir par instinct, non, comme par instinct…

Bernard de Montréal :
Il ne faut pas dire comme par instinct, parce que les gens vont dire : un enfant qui a 7 ans, 9 ans pour lui ça va être comme par instinct, ça va être par instinct, et puis si pour une raison ou une autre cet enfant-là, à un certain moment est en contact avec des intelligences négatives - ça c’est très répandu dans la société, dans tous les pays - comme il est en contact avec une intelligence négative, comme il est en contact avec une intelligence qu’il ne voit pas, autrement dit pour lui il peut être en contact avec Dieu parce que ces intelligences-là ne vont pas dire qu’elles sont négatives, elles vont dire qu’elles sont Dieu, alors automatiquement le petit gars va agir par instinct, et puis il va te mettre une balle dans le crâne…

Richard Glenn :
Comme par instinct tout ce que Dieu nous demande et on dit que Dieu nous parle par la voix de notre conscience, donc il faut être conscient.

Bernard de Montréal :
Dieu nous parle… Oh ben ok ! Ça encore c’est délicat…
La conscience : Il y a la conscience consciente et puis il y a la conscience inconsciente.

Alors, quand on est jeune quand on grandit et qu’on n’est pas arrivé à la conscience, on a une conscience inconsciente !
Quand on commence à avoir de la conscience par laquelle on dit que Dieu nous parle ou l’Esprit nous parle, cette conscience-là est une conscience consciente, c’est-à-dire qu’il y a un rapport intelligent entre le mental humain et le supramental humain, il y a un rapport intelligent entre ce que l’humain fait et ce que l’humain reçoit, il y a une harmonie entre les deux, il y a de l’intelligence, il y a une communication télépathique qui s’établit, alors les forces de la Lumière communiquent télépathiquement avec l’être humain dans un langage intelligent plus ou moins ajusté à ses vibrations.

Richard Glenn :
Les forces pour quoi Bernard ? J’ai l’impression que tu coupes les cheveux en quatre, parce qu’on dit, ici, que la conscience c’est quand on est capable de sentir la différence entre le bien et le mal.

Bernard de Montréal :
Non, non, non, non, non… ! Ce n’est pas ça la conscience !
Tu ne dis pas que je ne vois pas, c’est pas pour rien que vous êtes là, je suis là exprès pour expliquer certaines choses, je te les explique les choses.
Il y a la conscience consciente et puis la conscience inconsciente, que tu l’aimes, que tu ne l’aimes pas, c’est la même chose, et puis éventuellement les gens qui entrent dans la conscience consciente savent qu’il y a une différence entre la conscience consciente et la conscience inconsciente, alors ce n’est pas une affaire de me fâcher, c’est une affaire d’établir les faits comme ils sont, la vibration elle passe et puis je la laisse passer.

Richard Glenn :
Quelle est la différence entre la conscience consciente et l’inconsciente…

Bernard de Montréal :
La conscience consciente… dans la conscience consciente l’être humain est en rapport télépathique avec les forces de Lumière, il communique télépathiquement, il est en communication directe, mentale, par la voie de la pensée, la pensée avec le temps au fur et à mesure que la conscience devient consciente, plus cette pensée s’objectivise, plus la pensée devient impersonnelle, plus l’individu réalise qu’il parle réellement, objectivement, absolument, avec une intelligence qui est en dehors de lui-même mais qui est harmonisée à lui-même et qui fait partie de lui-même, ce que certaines personnes appellent l’ajusteur de pensées, à ce moment-là l’être humain a la conscience consciente, mais d’ici à temps là, là il y a de la conscience inconsciente.

Richard Glenn :
Pour faire quoi ?

Bernard de Montréal :
La conscience inconsciente permet à l’être humain d’évoluer sur le plan mental, permet à l’être humain si elle est bien indiquée, si elle est bien instruite, à développer des valeurs morales qui sont socialement productives, permet à l’être humain au niveau de la société d’établir des liens psychologiques, moraux, philosophiques avec les individus, de sorte qu’on développe une société de plus en plus stable, mais c’est toujours à l’extérieur de l’être humain, ce n’est pas à l’intérieur de l’être humain que le pouvoir de la conscience peut se manifester.
Le pouvoir de la conscience consciente se manifeste intérieurement, c’est totalement un processus et un phénomène individuel, cela n’a rien à voir avec la société.

Richard Glenn :
C’est d’ailleurs ce qu’on répète ici à la question 620, en disant que c’est la voix de Dieu qui se fait entendre en chacun de nous.

Bernard de Montréal :
C’est ça.
Le petit catéchisme-là ! Ces livres-là, ce sont des grands livres, ce sont des livres qui ont donné à l’humanité au cours des siècles, une base psychologique et morale, pour évoluer et pour éventuellement établir des rapports de plus en plus humains, démocratiques, sages entre les humains, ce n’est pas de la petite Game ces livres là, ce sont de grands livres, seulement que quand on arrive à un certain niveau d’évolution, on les comprend plus loin, et quand on peut les comprendre plus loin, c’est parce qu’on a une conscience consciente, puis quand on les comprend au niveau du petit catéchisme, et c’est de la conscience inconsciente comme on a par exemple chez nos enfants.

Richard Glenn :
Maintenant nous ne sommes plus des enfants, nous sommes peut être capables d’aller plus loin dans ….

Bernard de Montréal :
C’est à dire qu’on commence à réaliser là, qu’on a une possibilité de grandir et de devenir des adultes.

Richard Glenn :
Alors une deuxième question à Bernard pour avoir sa réponse à lui : Quand entendons-nous mal la voix de notre conscience ? Quand notre esprit est-il faussé par l’erreur ou par le péché ?

Bernard de Montréal :
Bon, c’est encore du moralisme, naturellement l’Eglise est obligée d’être moraliste parce qu’elle est obligée d’établir des bases psychologiques pour le comportement social des individus, mais l’être humain n’entend pas sa conscience précisément parce que l’être humain a des émotions, alors les erreurs pour prendre les mots là, les erreurs proviennent de l’émotion humaine, d’ailleurs les erreurs si l’être humain était conscient, il s’apercevrait que les erreurs ça n’existe pas.

C’est une confusion de l’esprit d’instruction, de ceux qui instruisent de croire que les erreurs sont des erreurs, ça n’existe pas une erreur ! Toute expérience est bonne, seulement l’être humain fait des erreurs parce qu’il n’est pas ajusté à la Conscience Supramentale, et s’il était ajusté à la Conscience Supramentale, si l’être humain comprenait les liens étroits entre les forces de l’Intelligence qui sont en lui et son Ego averti, il réaliserait que l’erreur n’existe pas, c’est une situation créée pour le bénéfice de l’évolution expérimentale de l’être humain.

Mais comme on a tendance à mettre des étiquettes sur tout ce qu’on fait, si on fait une gaffe on dit bon ben c’est une erreur, par ce que notre Ego n’est pas conscientisé, si notre Ego était conscientisé on ne ferait pas d’erreur, et ne faisant pas d’erreur cela ne voudra pas dire que notre action serait parfaite, mais on ne ferait pas d’erreur parce qu’on n’aurait pas l’impression de faire une erreur, et puis quand tu n’as pas l’impression de faire une erreur et bien tu n’en fais pas !

L’autre gars à côté peut penser que tu en fais, mais ça c’est sa bébelle (babiole, sans valeur) mais toi, si tu as l’impression de ne pas faire d’erreur, tu n’en fais pas d’erreur, mais si tu as l’impression d’en faire une, tu en fais une, et puis si tu as l’impression d’en faire une tu as une émotion attachée à ça. Ce sont les émotion des erreurs accumulées au cours des années, qui font que les gens rendus à 25, 30, 40, 50 ans, qui ont fait des erreurs parce qu’ils ont pensé avoir fait des erreurs toute leur vie, qui sont bourrés d’erreurs parce qu’ils pensent qu’ils ont fait des erreurs, et ce n’est pas qu’ils ont fait des erreurs c’est qu’ils ont été amené à vivre des expériences qu’ils ont qualifié d’erreurs…
Mais des expériences qui leur ont servi dans l’acheminement de leur vie, en fait le concept de faire des erreurs c’est un concept qui est négatif, c’est un concept qui retarde l’évolution de l’être humain, c’est un concept qui détruit la sécurité des individus, c’est un concept qui éventuellement tend à homogénéiser la société et à faire de tout le monde des moutons.

Richard Glenn :
Ça revient exactement à l’expression de la question numéro 101, qui disait que Dieu avait exempté Adam et Eve de l’erreur de l’inclination au mal, de la douleur et de la mort, mais que depuis ce qu’on a appelé le péché originel - mais allons au-delà des formes - l’être humain n’est plus capable.
Bernard est d’accord avec ça ?

Bernard de Montréal :
Bon… alors quand tu dis ça, la première partie de ce que tu dis, tu veux dire que dans ce temps-là, quand l’être humain était inconscient, des erreurs il n’y en avait pas, quand il est devenu conscient, là, il a commencé à penser qu’il faisait des erreurs, parce qu’aussitôt qu’il faisait quelque chose, le gars à côté disait : « Tu as fait quelque chose de pas correct », la mère elle disait : « Tu as fait quelque chose de pas correct » le grand prêtre disait : « Tu as fait quelque chose de pas correct » et le gars pensait qu’il faisait des erreurs parce qu’il n’était pas assez centrique, autrement dit il n’était pas assez dans cette énergie, dans ce contact entre lui et Dieu, autrement dit entre lui et la Conscience Supramentale pour savoir que ce qu’il faisait c’était ça, et puis c’était final, qu’on aime ou qu’on aime pas, ça, c’était bébelle. (Sans importance, broutille).
C’est à partir de ce moment-là, que l’être humain a cessé de s’individualiser, a perdu son centrisme, est devenu inconscient puis aujourd’hui il est obligé de lire le petit catéchisme pour essayer de revenir cahin-caha à une forme de conscience puis il est incapable parce que c’est pas assez puissant

Richard Glenn :
J’ai deux questions et deux réponses et après j’aimerai avoir les commentaires de Bernard :
Qu’est-ce que la grâce ? La grâce est un don surnaturel que Dieu nous accorde pour aller au ciel.
Pourquoi la grâce est t-elle appelée un don, parce que la grâce vient de Dieu et que nous n’y avons pas droit.

Bernard de Montréal :
Il soupire…
La grâce c’est un autre mot, c’est un privilège que s’est donné l’Eglise pour donner aux pauvres et aux simples d’esprit, et puis aux masses qu’elle devait éduquer, le privilège d’appartenir à une Eglise qui avait un Dieu quelconque, c’est un privilège, c’est un droit, c’est une note !
C’est une note de crédit la grâce !

Le concept de la grâce est un concept qui est très mauvais, parce que ça rend l’individu soumis aux forces Cosmiques, mais l’individu n’a pas à faire à être soumis aux forces Cosmiques parce que l’individu est constamment soutenu par les forces Cosmiques, mais ce qui arrive c’est que l’individu est tellement insensible aux forces Cosmiques qu’aussitôt que les forces Cosmiques se manifestent en lui, pour une raison ou une autre, je vais vous donner un exemple :
Les forces se manifestent chez l’individu et le gars va gagner au loto, là il y a une grâce, comprends- tu ? Là il se met à 4 pattes comme un singe et puis il remercie Dieu, ben c’est çà la grâce !
Il y a toutes sortes de grâces, et puis la grâce c’est de la graisse !

On s’est laissé graisser pendant des années de temps et puis aujourd’hui on ne voit plus clair.
Il y a des relations entre l’être humain et les forces cosmiques, ce n’est pas une affaire de grâce c’est une affaire de relation, et plus l’être humain est conscientisé, plus ces forces-là descendent, puis descendent et puis éventuellement c’est plus de la grâce que tu as, c’est ton dû en tant qu’humain !
Parce qu’il y a une relation directe entre toi sur le plan matériel, et les forces sur les plans supérieurs, qui fait que ce qui est en haut est en bas.
Alors l’affaire de la grâce, ça c’est de la psychologie religieuse ! C’est la psychologie qui a aidé à supporter des masses pendant des siècles de temps, mais aujourd’hui on n’est plus au stade où les masses doivent être supportées, mais on est au stade où l’individu doit sortir de lui-même, c’est-à-dire se rencontrer avec son homologue intérieur, autrement dit comme tu disais tout à l’heure-là, là il faut qu’il pète ! Il est temps !

Richard Glenn :
Là le poussin se débat…

Bernard de Montréal :
Oui le poussin se débat, c’est exactement ça !
Aussitôt que la conscience devient consciente, aussitôt que l’être humain commence à réaliser les formes dans lesquelles il a été emprisonné pendant des années, le poussin il a peur, il a peur, il a peur et puis il chie dans ses culottes et tout le monde chie dans sa culotte, jusqu’à ce qu’ils soient rendus assez centriques, pour être totalement surs d’eux-mêmes, totalement en harmonie avec eux-mêmes et à ce moment-là, ils deviennent des piliers d’énergie et ils sont en harmonie avec les forces d’en haut, les gens ne vivent plus dans la crainte et ils n’ont plus besoin de grâce.

Richard Glenn :
La grâce nous fait participer à la nature de Dieu et elle nous élève au-dessus de la nature humaine comme Bernard vient de dire.

Bernard de Montréal :
La grâce nous élève toujours au niveau de la nature humaine, au-dessus de la nature humaine, parce que la grâce est évolutive !
L’énergie qui provient des plans supérieurs vers l’être humain, qui transperce l’être humain, ce sont des forces créatives qui nous font grandir, grandir et dépasser toujours la nature humaine, seulement si on est conscient !
Si on n’est pas conscient ça nous fait patauger dans la nature humaine, ça fait 2000 ans qu’on patauge dans la nature humaine.
Alors ne me parlez pas de la nature humaine…

Richard Glenn :
Il faut s’élever au-dessus de la nature humaine…

Bernard de Montréal :
Faut pas s’élever ! Faut devenir conscient !
Et puis quand on devient conscient, automatiquement on s’élève, si on s’élève, on tombe dans une autre forme qui donne l’impression de s’élever, et puis on tombe dans l’orgueil et la vanité de l’Ego.
Faut ouvrir les centres ! Il faut que nos centres s’ouvrent, c’est ça la conscience !
Il n’y a rien d’occulte là-dedans ! La conscience c’est la destruction des formes, plus les formes sont détruites, plus la conscience pénètre, pénètre, cette énergie-là nous élève, on n’a pas besoin de s’élever, ça nous élève tout seul.

Richard Glenn :
Et qu’est-ce que la vie surnaturelle ? C’est la vie de Dieu en nous.

Bernard de Montréal :
La vie surnaturelle c’est la vie en nous ! Ce n’est pas la vie de Dieu, c’est la vie en nous.
La vie de Dieu… tout… la vie de Dieu puis la vie de Dieu et puis la vie de Dieu…. (Bernard de Montréal se moque…) On se fait constamment brainwatcher ! (De l’anglais brainwatch - lavage de cerveau - ici dans le sens de se faire bourrer le crâne)
La vie de Dieu… c’est évident que ça ne vient pas de nulle part cette affaire là !
Ça vient de quelque part !
Quand on sera conscient et puis qu’on pourra changer de plan, et puis quand on sera en communication en force avec ces… on commencera à comprendre ce que c’est Dieu !
T’sé (tu sais) dans ce temps-là, si on commence toujours à vivre en relation avec cette forme-là et bien on devient des becqués ! On devient des becqués et puis on marche à genoux.
(Becqué : de bec en québécois qui signifie un baiser - donner un bec = donner un bisou - dans ce contexte, être becqué = être baisé…)

Richard Glenn :
Est-ce que participer à la nature de Dieu, c’est vivre de la vie même de Dieu et Dieu vient habiter en nous ? C’est donc la vie.

Bernard de Montréal :
La Vie c’est la Vie ! Sais-tu qu’est-ce que c’est Dieu toi ?
Y en a t-il du monde qui sait ce que c’est Dieu ?
Si vous voulez savoir ce que c’est Dieu, demandez à eux autres en haut, ils vont vous l’expliquer ce que c’est Dieu ! Mais ils vont vous l’expliquer suivant votre intelligence pour ne pas que vous capotiez, laissez faire Dieu ! C’est évident que la Vie elle vient de quelque part, ça a été créé, c’est un processus créatif, mais les conditions de cette création-là… on synthétise tout ça et puis on met une étiquette, l’un c’est Dieu, l’autre là-bas c’est Allah, puis l’autre c’est Allah pas, t’sé, chaque pays…

Les êtres humains doivent apprendre à vivre en relation vibratoire, en harmonie avec les forces, les forces de la vie.
Quand les êtres humains pourront vivre en harmonie avec les forces de la Vie, là ils pourront commencer à gravir les sentiers de la Conscience Cosmique, là ils pourront commencer à comprendre ces affaires-là, et puis quand ils comprendront ces affaires-là ils seront assez en dehors des formes pour ne pas subir le contrechoc de ce qu’ils auront découvert, et devenir des petits animaux là, des p’tits gars à 4 pattes !

L’autre, là, il va arriver en Europe, il va rencontrer des extraterrestres, eux autres ils vont lui dire « C’est nous qui avons créé l’humain » là il vient ici, et puis il va commencer à raconter ça à tout le monde, là tout le monde va penser qu’on sort d’un laboratoire cosmique quelque part, t’sé !
Les Dieux ! Laissez faire les Dieux ! Occupez-vous de vous autres, vous penserez à Dieu après !

Richard Glenn :
Entrer en contact avec les intelligences, la Hiérarchie comme le dit Bernard, ici on dit bien comment appelons-nous le don qui nous aide à mieux connaitre les vérités révélées : le don d’intelligence.

Bernard de Montréal :
Ah c’est pas mal. Continue…
Le don d’intelligence… Les dons, tous les dons : Donne-moi une piastre, donne-moi une piastre, t’sé… C’est vibratoire !

Richard Glenn :
Tu l’as ou tu ne l’as pas...

Bernard de Montréal :
Si tu l’as-tu l’as, si tu ne l’as pas tu ne l’as pas !

Richard Glenn :
C’est ça qu’on appelle un don…

Bernard de Montréal :
Les dons… non, non ! Ce n’est pas bon le don !
Parce que le don te diminue dans ta conscience cosmique !
Le don te diminue en tant qu’individu incarné sur une planète, pour une évolution quelconque !
Un don ? Ce n’est pas un don !
On parle de don parce qu’on n’a jamais réalisé l’unité du Tout !
C’est pour cela qu’on parle d’un don ! C’est une faveur… on se trouve des faveurs, et puis des faveurs, et des faveurs ! Et puis, qu’est-ce qui arrive ? Toi, si tu as un frère qui est bien riche et qui te fait toujours des faveurs ? Mais rendu au bout de 20 ans là, tu vas te sentir obligé envers lui !

Il va arriver chez vous là, tu vas trembler : ton frère il te fait des faveurs et puis tu vas être obligé de lui faire des faveurs pour balancer les faveurs qu’il t’a faites, autrement dis, tu deviens un esclave des conditions des faveurs qu’il t’a imposées !
Des faveurs ! C’est toute (tout) des mots çà ! On est tous pognés (prisonniers) des mots ! On est tout pogné des mots, des formes ! Moi je balance tout ce que j’ai à dire, rien que sur la loi des formes c’est assez pour durer 1000 ans.

Richard Glenn :
Comment appelons nous le don qui nous éloigne du moindre péché, et de tout ce qui peut nous exposer à offenser Dieu notre père ? Le don de crainte de Dieu… (Rires du public)

Bernard de Montréal :
Ça n’existe pas les péchés ! Les péchés ça existe parce que les gens pensent… si les gens ne pensaient pas les péchés n’existeraient pas, c’est une illusion de l’Ego les péchés !

Richard Glenn :
S’ils faisaient comme par instinct, ce que Dieu leur dit ?

Bernard de Montréal :
Si les gens étaient conscients, les péchés ça n’existerait pas !
Les péchés… le concept du péché, c’est un concept qui provient de la confusion de l’humain, le concept du péché c’est un péché ! (Rires du public) ça provient de la confusion de l’humain !

Richard Glenn :
Quand commettons-nous un péché quand nous nous détournons de Dieu pour nous attacher à des formes ? Et ce qu’on nous disait c’est de nous attacher à des choses créées, donc à des formes.

Bernard de Montréal :
Ils ne savent pas ce que c’est que des formes eux autres…
Quand tu t’attaches au concept de Dieu tu t’accroches à une forme !
Parce que… mais les formes dont ils parlent ce sont toujours des formes matérielles, tu n’as pas le droit d’avoir une télévision, tu n’as pas le droit de faire l’amour à ta femme, tu n’as pas le droit de regarder l’autre femme un p’tit peu, à côté, parce que tu fais… j’sais pas comment qu’ils appellent ça là… de l’over time ! (Surmenage - heures supp)

Ç’en est toutes des formes çà ! Ce qui fait que le gars émet une trouille, moindrement qu’il a été enseigné pendant des années de temps à pas regarder la femme à côté, puis il y a une journée où il en passe une belle rose, il salue ! Et puis il la regarde, il vient de bloquer… ces émotions-là il y a un péché, d’abord il va se sentir obligé d’aller à la messe et puis aller au confessionnal et puis conter ça au prêtre…
On est pogné (prisonnier) dans des formes !

Richard Glenn :
On nous dit bien ici que justement, pécher, c’est celui qui retourne aux formes.

Bernard de Montréal :
Non, ce ne sont pas les mêmes formes. Les formes dont je parle et les formes dont ils parlent ne sont pas les mêmes formes.

Richard Glenn :
On va sortir un autre catéchisme inspiré par Bernard…

Bernard de Montréal :
Mais l’intuition est là, mais il faut aller plus haut que l’intuition ! Il faut avoir l’intelligence, l’intuition ce n’est pas assez, essayez donc d’aller au théâtre et puis de regarder ça avec une lunette, ça prend tes deux yeux pour voir le film comme tout le monde, ben c’est la même chose, on a besoin de deux yeux, pas qu’avec l’émotion, on a besoin du mental aussi.

Richard Glenn :
Il faudra peut-être beaucoup d’intelligence, pour descendre ça au niveau d’un enfant de 6-7ans qui doit apprendre ça par cœur par exemple.

Bernard de Montréal :
Ça prend l’intuition, ça prend l’intuition et ça prend un esprit très simple, les gens qui parlent des affaires de mêmes ce sont des gens qui ont des esprits très simples, ça ne veut pas dire qu’ils ne sont pas intelligents, ils ne sont pas très cultivés !
Tu ne peux pas changer la vibration de ta pensée !
Prend Teilhard de Chardin quand il écrivait ses livres, et puis c’est rentré dans la chrétienté, cette affaire-là, ça a fait sauter tout le monde, pourquoi ?

Parce que Teilhard de Chardin il écrit avec le Supramental !
Et puis aujourd’hui celui qui dit que Teilhard de Chardin ça ne se comprend pas, pourquoi ? Parce que c’est le Supramental !
C’est une des plus grandes œuvres qui a été écrite dans les dernières années son matériel !
Mais aussitôt que ça tombe dans les mains des psychologues là, de la religion, de la psychologie religieuse, là ça ne marchait plus ! Pourquoi ?
Parce que ça ne se saisissait pas !

Quand il est arrivé avec son concept d’Oméga, combien est-ce qu’il avait de gens qui comprenaient le concept de l’Oméga ? Crisse ! (Crisse = juron)
Facile de faire de l’overtime, de faire des philosophies avec des œuvres hautement supramentales comme la sienne, alors quand ça rentre dans le terrain de jeu, je te jure que ça en fait des faux bonds…

Richard Glenn :
J’ai presque goût à partie de maintenant de remplacer le mot Dieu, quand je vais lire le petit catéchisme, par le mot qui fait bien plaisir à Bernard, c’est le mot Supramental.

Bernard de Montréal :
Non, non, non, non, non… ! Ne pas enlever le mot Dieu ! D’abord on n’est pas près à étudier ça…

Richard Glenn :
Je vais changer les mots pour utiliser les formes que Bernard nous amène…

Bernard de Montréal :
Non, non, non, non, non… non, non, non, non !

Richard Glenn :
Comme Bernard nous …

Bernard de Montréal :
Non, non, non, non, non, non, non ! C’est ça qu’on utilise, pas moins, c’est ça…

Richard Glenn :
Mais pour qu’on se comprenne mieux, je pense que …

Bernard de Montréal :
On se comprend, on se comprend, on se comprend....

Richard Glenn :
Alors pourquoi devons-nous croire les vérités révélées par le Supramental : parce que le Supramental ne peut pas se tromper, ni nous tromper...

Bernard de Montréal :
Non, non, non ! Tu changes de vibration si tu veux me demander une question de même, là tu vas tomber au niveau de ce que… là, si tu me demandes une question de même, là je vais te parler au niveau du Supramental, ce n’est pas au niveau du Supramental qu’on va parler, on va parler au niveau du catéchisme !

Richard Glenn :
Il ne faut pas être limité aux formes qu’il y a dans le petit catéchisme...

Bernard de Montréal :
Les formes qui sont… on n’est pas limité aux formes du catéchisme !
Je ne détruis pas… mais j’en parle… (Rires dans la salle) continue le petit catéchisme…

Richard Glenn :
Alors je reprends avec le mot Dieu la même question : Pourquoi devons-nous croire les vérités révélées par Dieu ? Parce que Dieu ne peut pas se tromper ni nous tromper.
Quand on est en contact on est en contact. Quand on sait, on sait.

Bernard de Montréal :
Ok, ok… ok.
Les vérités révélées par Dieu…

Richard Glenn :
Par le supramental….

Bernard de Montréal :
Non, non, non, non !
Les vérités révélées par Dieu dans le petit catéchisme ou dans l’Eglise sont révélées par qui ?
Sont-elles révélées par Dieu ?
Ou sont-elles "intuitées" par des hommes ?

Richard Glenn :
Révélées par Dieu….

Bernard de Montréal :
Whouah… mais c’est ça que je te demande !

Richard Glenn :
Mais alors moi je prends ce qui est écrit là… (Petits papiers, questions posées par le public)
Révélées par Dieu…

Bernard de Montréal :
Donne m’en une !

Richard Glenn :
Tu veux des vérités révélées ?

Bernard de Montréal :
Donne m’en une de vérité là-dedans, qui est révélé par Dieu !

Richard Glenn :
Alors ça, ça s’attribuerait au niveau de la foi, et quels sont les dogmes de foi ?
Ça va être la Trinité, Dieu est en trois personnes…

Bernard de Montréal :
Whouah… ok… qui c’est qui a dit ça ?

Richard Glenn :
Ça ? Ça a été révélé.

Bernard de Montréal :
Par qui ?

Richard Glenn :
Par Dieu.

Bernard de Montréal :
A qui ?

Richard Glenn :
Aux hommes.

Bernard de Montréal :
Quand ? (Rires du public)

Richard Glenn :
Ça remonte à la nuit des temps ! Ça remonte depuis l’origine du monde, tu retrouves ça chez les Indous, tu retrouves ça chez les Chrétiens, tu retrouves ça dans toutes les grandes philosophies religieuses fondamentales, dans tous les grands mouvements.

Bernard de Montréal :
Ok, alors tu sais ce que tu peux te faire avec ça ?

Richard Glenn :
Ça a été révélé par Dieu …

Bernard de Montréal :
Croire…

Richard Glenn :
Il ne peut pas se tromper, ni nous tromper.

Bernard de Montréal :
On ne peut y croire…

Richard Glenn :
C’est qu’il y aurait trois plans, le Père le Fils et le Saint Esprit…

Bernard de Montréal :
Ok, bon, ok…

Richard Glenn :
Krishna, Shiva…

Bernard de Montréal :
Les choses qui ont été révélées… autrement dit… les choses qui ont été révélées viennent du Supramental, alors les choses qui ont été révélées par le Supramental, au niveau du Supramental, ou les choses qui ont été révélées par Dieu, bon… les choses qui ont été révélées sont toujours révélées dans un temps de l’évolution de l’humanité, il y a des choses qui ont été révélées voilà 10000 ans à l’être humain, il y a des choses qui ont été révélées il y a 2000 ans à l’être humain, il y a des choses qui ont été révélées à la fin du siècle, autrement dit la révélation ne s’arrête pas…
Ce qui arrive, c’est que tant qu’il y a de la révélation, l’être humain croit… à la révélation… on demande à l’être humain de croire !
Alors l’être humain pendant des siècles a cru, parce que cela faisait partie de l’involution de l’être humain, c’était nécessaire que l’être humain ait des formes pour établir une fondation pour l’élévation de son esprit, avec le nouvel âge, avec la nouvelle race d’humains qui vient, l’être humain ne peut plus croire, il doit savoir, parce que c’est plus l’affaire que de dire que… comment ça s’appelle, heu….la trinité là ! Le Père, le Fils, le St Esprit et puis de dire : ça c’est un mystère… et alors ça ne se comprends pas, il s’agit de savoir ce que ça veut dire, Le Père, le Fils, le St Esprit alors…

Richard Glenn :
Mais on nous dit que nous sommes certains qu’il y a trois personnes en Dieu : le Père, le Fils et le St Esprit.

Bernard de Montréal :
Il faut comprendre ce que ça veut dire trois personnes en Dieu ! (Élevant la voix)

Richard Glenn :
Et que chacune des trois personnes est divine…

Bernard de Montréal :
Ouais, ouais… mais ça veut dire quoi ça ?

Richard Glenn :
Que chacune a la nature de Dieu en soi…

Bernard de Montréal :
Ouais mais ça veut dire quoi ?!

Richard Glenn :
Ça veut dire que les trois font partie de la même chose mais dans une hiérarchie…

Bernard de Montréal :
Oui mais ça veut dire quoi ?! (En hurlant)
Où tu ne pourras plus me répondre, c’est là que ça commence à être important… (Tapant sur la table provoquant les rires du public)

Richard Glenn :
C’est parce qu’à un moment donné, il y a des questions comme le disait déjà Bernard, des réponses en desseins, des réponses… des questions sans dessein…

Bernard de Montréal :
Non…
Ce qui arrive c’est qu’à un certain moment dans le processus des questions puis des réponses, pour comprendre les mystères il faut pouvoir demander des questions impossibles pour recevoir des réponses impossibles, et puis il n’y a qu’une façon de questionner, de faire des questions impossibles, et puis y répondre, donner des réponses impossibles, c’est au niveau du Supramental, ça ne se pense pas ces affaires-là !
Donc autrement dit tu es obligé de parler avec une Hiérarchie qui est au-dessus de l’humain.

Richard Glenn :
Alors je continue avec les réponses que j’avais ici d’ailleurs à la portée de la main.
Pourquoi ? Mais parce que les trois personnes divines ont une seule et même nature divine.

Bernard de Montréal :
Ah… okey… Ça veut dire quoi ?

Richard Glenn :
Hum… ça me parait évident… Ils sont de la même nature…

Bernard de Montréal :
Ah ? C’est évident ?
C’est évident pour toi ? Que les trois Principes… parce que moi pour en parler il va falloir que j’aille avec la matraque là ! Le Père, le Fils et l’Esprit Saint, ce n’est pas la Trinité !
Il y en a une foule de Trinités ! Il n’y en a pas qu’une !

Il y a la Trinité Satanique : il y a Lucifer, il y a l’Antéchrist et il y a Satan, ça, c’est une Trinité Satanique.
Il y a une autre Trinité qui est la Lumière : le Père Absolu, le Christ et puis l’Esprit, ça c’est l’autre Trinité. Et puis il y a encore une autre Trinité au-delà de ça, qui fait la synthèse des trois Trinités parce que dans le Cosmos il y a toujours trois forces, alors tu as une Trinité, puis tu as une autre Trinité, puis t’en as une autre, tu as une Trinité Négative, puis tu as une Trinité Positive, puis tu as une Trinité Absolue, et ces trois forces-là sont ensemble, on n’a pas parlé encore de la Trinité Absolue, ça va venir plus tard.

Mais, ce n’est pas une affaire de la Trinité… parce que si tu commences… si les gens pensent qu’il n’y a rien qu’une Trinité, et qu’ils commencent à communiquer avec l’invisible, tout ce qu’ils vont recevoir de l’invisible ils vont prendre çà comme venant de Dieu, alors que ça peut venir de la Trinité Satanique !

Si le gars il ne sait pas que ça existe la Trinité Satanique, il va s’imaginer que toute la Trinité, tout ce qui se passe dans sa tête c’est la Trinité de la Lumière, parce qu’il y a des gens qui sont en contact avec des forces Sataniques et puis ils ne le savent même pas ! Et puis il y en a de ceux-là !
Tu ne t’imagines pas que les forces Sataniques vont te dire que ce sont des forces Sataniques, ils ne sont pas caves ! Ils vont te dire qu’ils sont des forces qui font partie de la Trinité de la Lumière, et puis t’embarques dans le jeu, tu n’as aucun point de références parce que tu n’as aucune centricité, et puis là, ta Trinité elle vient te donner… le prix de l’ignorance.

On est obligé de savoir ce que ça veut dire, on ne peut plus rester planté avec des mystères qu’on ne comprend pas, on a le pouvoir de comprendre et puis on doit comprendre, seulement l’être humain ne peut pas comprendre avec son intellect ! Pour comprendre il faut qu’on soit en communication télépathique avec le Supramental, à ce moment-là on comprend tout, mais là…

Richard Glenn :
Moi ce que je peux dire, c’est qu’en suivant le petit catéchisme, et en suivant Bernard depuis trois ans, je comprends que les deux disent exactement la même chose.

Bernard de Montréal :
Effectivement qu’on dit la même chose ! Ce sont les conditions de ce que l’on dit, qui changent.

Richard Glenn :
Ce n’est pas prouvé encore.

Bernard de Montréal :
Ce n’est pas prouvé ?

Richard Glenn :
Comment les morts cherchent-ils à nous nuire en essayant de nous faire perdre la Lumière qui est en nous ?
Pourquoi les démons cherchent-ils à nous faire perdre la Lumière qui est en nous, parce qu’ils détestent la Lumière, ils sont jaloux de ceux qui ont la Lumière.
Là je vais utiliser de plus en plus les termes de Bernard pour vous dire exactement ce qu’il dit.

Bernard de Montréal :
Tout ça… d’ailleurs je m’en vais te dire une chose tout de suite…

Richard Glenn :
On réédite un nouveau catéchisme avec les termes de Bernard...

Bernard de Montréal :
Non, non, non, non, non, non, non ! Tout ce qui est dans le catéchisme c’est vrai.
C’est tout vrai ça ! Le point n’est pas là, c’est que ce n’est pas assez… !

Richard Glenn :
D’accord, mais ça, ça s’adresse à des enfants de 7, 8 ans.

Bernard de Montréal :
Oui, d’accord, mais on n’est pas des enfants de 7, 8 ans ! On apprend à parler du catéchisme !

Richard Glenn :
Et ce que je veux dire là, Bernard, c’est qu’il y a des gens qui ont bafoué çà à 10 ans à 8 ans….

Bernard de Montréal :
Ce sont des ignorants.

Richard Glenn :
Quétainerie… (Coutume passée de mode)

Bernard de Montréal :
Ce sont des ignorants ! Les gens qui ont bafoué çà ce sont des ignorants, ce sont des gens qui sont pognés dans leur orgueil intellectuel, je vous l’ai déjà dit, laissez-là donc tranquille l’Eglise Catholique !
Elle a fait ses affaires et ce qu’elle a fait c’était nécessaire, ça faisait partie des plans de l’évolution, mais si on discute de ça, c’est comme si tu prends la Bible, la Bible c’est la Bible, tu peux pas commencer à rentrer dans les grandes patentes de la Bible, pour les gens-là, les masses mondiales, il faut que ce soit établi à un certain dénominateur commun, si tu veux rentrer là-dedans et puis aller dans l’occulte, la Bible là, tu le fais dans des conditions qui ne charrient pas le monde, mais ce qui est important c’est que les gens comprennent et réalisent que ces livres-là sont grands, mais ce n’est pas assez !

À un certain moment on a besoin de savoir plus !
On a besoin de comprendre ce que ça veut dire, qu’est-ce qu’ils disent eux autres intuitivement là-dedans ? Faut qu’on le comprenne ! Il n’y a qu’une façon de le comprendre c’est la communication avec le Supramental, si on ne communique pas avec le Supramental, on ne peut pas comprendre parce qu’on pense…

Richard Glenn :
Avec Dieu pour le petit catéchisme ?

Bernard de Montréal :
Avec Dieu pour le petit catéchisme.
Mais la raison pour laquelle je signe çà, c’est par ce que je ne veux pas qu’il y en aient qui partent et disent Bernard de Montréal communique avec Dieu ! C’est du monde from over time.
(Du monde pour le surmenage intellectuel)

Richard Glenn :
Je pense que ça va être très clair à ce niveau-là.
Alors, il y a des sujets si on est d’accord avec les fondements du petit catéchisme, qui… (mp3 défectueux, fin de la question incompréhensible.)

Bernard de Montréal :
C’est ça que je reproche à toutes les formes d’éducation qui ont été données à l’humanité jusqu’ici, et ça va jusqu’aux temps de l’Atlantide !

Si tu prends l’histoire des juifs avec Yahvé c’est la même patente, ça faisait partie des temps çà, parce que les gens étaient tellement sauvages dans ce temps-là qu’il leur fallait une autorité ésotérique pour les couler, mais aujourd’hui on n’est plus des niaiseux ! On descend des saints mais on n’est pas niaiseux, alors aujourd’hui on est arrivé à un point où on peut comprendre, déchiffrer la psychologie supramentale derrière les mots là-dedans, et puis voir que ce sont des grands livres, mais que s’ils ne sont pas expliqués à un autre niveau, ils peuvent créer chez les individus la crainte.

Et c’est reconnu que les catholiques, les chrétiens dans le monde Occidental, souffrent énormément de craintes à comparer avec d’autres peuples comme les bouddhistes ou les Orientaux. Pourquoi ? Parce qu’on a peur de faire un péché, on a peur de faire ci, et on a peur de faire ça, alors expliquer le péché et puis parler d’un péché véniel ou parler d’un péché mortel, ça s’explique occultement un péché véniel, ça s’explique occultement un péché mortel, seulement il faut que ce soit expliqué !

Parce que si ce n’est pas expliqué, à ce moment-là ça devient un fardeau pour l’esprit, et puis ça empêche l’énergie de l’âme de traverser réellement l’Ego puis la personnalité pour former un tout, afin que l’individu puisse réellement comprendre parfaitement, ce qui était indiqué par les pères de l’Eglise pour une section très, très généralisée, de la société, c’est ça, c’est dans ce sens-là qu’il faut voir et comprendre la relativité de la valeur de la catéchèse, avec l’autre aspect supramental ou occulte de la catéchèse !

La catéchèse a préparé les masses, a préparé l’esprit de l’être humain, l’esprit enfantin de l’être humain, l’esprit de l’être humain qui est affecté par ses émotions, comme par ses pensées, et à un certain moment si l’être humain réussit à dépasser son émotionnalité, sa subjectivité, et qu’il commence à être dans le Supramental et qu’il regarde la catéchèse, à ce moment-là il la comprend, il ne la nie pas, mais il peut lui donner une expansion, de sorte que la compréhension de la catéchèse, devient beaucoup plus vivante, beaucoup plus grande, beaucoup plus réelle.

Moi, ma petite fille, elle l’apprend la catéchèse, et puis je ne l’empêche pas d’apprendre la catéchèse, je trouve ça très bon, parce que ça lui donne une base psycho-ésotérique de la réalité, mais un jour il va falloir qu’elle comprenne la base ésotérique ou occulte de cette vérité-là, et puis elle ne sera plus affectée par les conditions psychologiques de cet enseignement-là.

Richard Glenn :
On est devant des adultes maintenant Bernard, alors je n’ai pas fini, on continue avec le petit catéchisme- quelles sont… heu… quelles peines nous méritent le péché mortel ?

Bernard de Montréal :
De quoi ?

Richard Glenn :
Quelles peines nous méritent le péché mortel, celui qui nous enlève la Lumière ?
Il nous mérite deux sortes de peine, la peine éternelle et la peine temporelle, ce que les indous appellent le dharma* ou le karma.
* note des transcripteurs : petite confusion de Richard Glenn entre les mots dharma qui signifie protection et désigne la protection liée à l’étude de l’enseignement, et karma qui signifie action et désigne la loi de rétribution, les fruits de l’action.

Bernard de Montréal :
Bon, ça c’est ben totché !
Je vais te dire pourquoi c’est totché (totché = délicat)
Parce qu’à la peine est lié le mot éternel… Quand tu dis à un être si tu fais telle chose tu es éternellement damné, ben à ce moment-là, tu viens de lui couper le sifflet !
Faut comprendre ce que ça veut dire éternel, il est incompris le mot éternel, parce le mot éternel veut dire, une existence en dehors du corps matériel dans lequel l’être humain est prisonnier du temps, c’est ça l’éternité.

Alors, tant que tu es prisonnier du temps, autrement dit si ta conscience est tellement assombrie par le manque de Lumière, effectivement tu vas rester prisonnier du temps, comme les Egos qui sont morts sont prisonniers du temps, et puis tu peux rester prisonnier du temps pendant de très longues périodes de temps, autrement dit ça va te paraître très long à toi-même, alors c’est ça l’affaire, le problème de l’éternité, mais faut que ça soit expliqué !

Il faut que le gars voit qu’au bout de l’éternité il y a une sortie dans cette affaire-là !
Et puis ça, ça fait partie de la psychologie qui a été renversée par Nietzsche, parce que Nietzsche a intuité que la psychologie de la théologie Chrétienne rendait l’être humain esclave, et le descendait et appauvrissait son pouvoir de volonté et il avait absolument raison, il avait absolument raison !

La religion ou les enseignements religieux doivent renforcer l’être humain après la mort ! La fonction de la religion est de renforcer l’être humain, de lui donner une fondation pour qu’il croit ! Et aussitôt qu’une religion commence à diminuer l’être humain, cette religion est vouée à la mort, et la Chrétienté aujourd’hui est vouée à la mort, et la Chrétienté mourra, et elle sera remplacée par un autre niveau de conscience et une autre étape d’évolution religieuse dans le monde entier où l’être humain connaîtra les dimensions supramentales de la religion, et les fonctions de la religion avec le Cosmos et pourquoi et à quoi sert la religion sur une planète et sur les autres planètes.

Richard Glenn :
Et pour les gens qui ne sont pas encore capables d’en arriver encore à ce niveau de conscience là, est-ce qu’on peut quand même continuer à s’intéresser à cet enseignement ésotérique, exotérique qu’on retrouve ou dans le petit catéchisme ou dans le Coran ou dans d’autres textes ?

Bernard de Montréal :
Evidemment ! Les religions sont bonnes et sont nécessaires pour l’être humain jusqu’au temps où il sera arrivé à un niveau où il puisse les dépasser - mais tant qu’il ne peut pas par lui-même les dépasser - pas par imposition extérieure. Quand l’être humain ne se sent pas assez fort pour dépasser la religion, pour voir au-delà, à l’intérieur de, en relation avec les maîtres, à ce moment-là la religion est essentielle, elle est importante parce qu’un peuple qui n’a pas de religion c’est un peuple qui est déjà fini.

La religion c’est essentiel et le petit catéchisme c’est essentiel, mais à un certain niveau, à un certain moment donné, l’être humain entre dans une phase d’évolution et puis on est dans cette phase d’évolution-là dans tous les pays du monde, et tout est remis en question !
Et tout sera mis en question ! Et tout sera détruit ! Et tout sera reconstruit. Une petite cigarette ?

Richard Glenn :
Non, je ne peux pas, pas de pollution.
Mais il y a une chose, c’est qu’à une époque la religion était la mythologie, on en est arrivé à la religion, puis plus tard on en arrivera peut-être à la supramentale, la supramentalite…

Bernard de Montréal :
Ils m’en ont parlé de l’affaire de la mythologie cet après midi, parce qu’ils m’ont dit qu’on en parlerait de ça, parce que c’est un point important : un peuple qui est prisonnier d’une mythologie c’est un peuple qui est enfantin !
La plupart des peuples dans le monde sont prisonniers d’une mythologie, ce sont des peuples enfantins, les Allemands étaient prisonniers d‘une mythologie Arienne, les Japonais ont été prisonniers d’une autre mythologie Shinto, tous les peuples sont pris et emprisonnés dans une mythologie, et puis la mythologie c’est le passé, et puis le passé c’est le rêve des humanités, et c’est une symbologie qui s’applique à une dimension psychologique et astrale des humanités anciennes et puis aujourd’hui il n’y a plus rien là, ce sont des peintures psychologiques et puis c’est final.
C’est bon pour les psychologistes ça… mythologie… faut qu’on en sorte des mythologies !

Le rêve c’est une mythologie, les humains rêvent aujourd’hui parce qu’ils sont encore imprégnés des pensées formes d’une humanité entière !
Quand l’être humain ne pourra plus rêver, il sera automatiquement en contact avec le Supramental sur les plans de Conscience, même quand il sera couché, tant que l’humain rêve c’est parce qu’il est inconscient, la mythologie fait partie du rêve, le rêve fait partie de la mythologie, la mythologie c’est une prison, c’est de la boite !
Seulement c’est une belle boite et on a fait dessus un art, on fait dessus une culture, de sorte qu’aujourd’hui on va à l’université et puis tout le monde étudie cela, et puis tout le monde trouve cela fantastique, et c’est fantastique la mythologie… ce n’est pas ça que je veux dire !

C’est fantastique parce que c’est beau, c’est grand, ça fait partie du drame de l’évolution psychologique de l’humanité, mais à un certain niveau faut sortir du fantastique, et puis regarder la mythologie d’une façon objective et la comprendre d’une façon totale, et ne pas être imprégné soi-même et se servir de la mythologie pour expliquer nos propres problèmes psychologiques !
C’est un cercle vicieux !

Pour commencer, tu ne t’imagines pas que l’être humain va devenir conscient en comprenant le… comment on appelle ça ? L’affaire d’Œdipe là ! Et puis Narcisse et puis les autres grecs là !
Voyons ! L’être humain doit comprendre, se comprendre par lui-même en relation avec les forces intelligentes en lui-même et à ce moment-là il n’a plus besoin de la mythologie symbolique ou de la symbologie mythologique, il n’en a plus besoin, et tant que les peuples ne sortiront pas de la mythologie, ils vont être prisonniers de cette forme-là, et puis laisse-moi te dire que c’est une forme puissante mon cher, regarde ce que les Allemands ont fait durant la seconde guerre Mondiale tu comprendras…

Richard Glenn :
Alors, est-ce qu’on pourrait comprendre qu’il y a eu mythologie au départ, religion par la suite et on en arrivera bientôt au Supramental.

Bernard de Montréal :
La mythologie… c’est la…

Richard Glenn :
C’est des formes…

Bernard de Montréal :
La mythologie, c’est le tableau de fond de la religion.
La religion c’est la politique des dieux, et tant que l’être humain n’est pas sorti de la mythologie et qu’il n’a pas compris la religion, il est prisonnier des dieux. Tant que l’humain est prisonnier des dieux c’est un cave.

Parce que les dieux c’est des êtres, des intelligences, qui sont dans d’autres dimensions, qui ont une compréhension totale des faiblesses de l’être humain, et si ils doivent entrer en communication avec l’être humain pour élever son niveau de conscience, laisse-moi te dire qu’ils vont lui faire faire de l’over time, pour que lui en arrive un jour par la souffrance à dépasser les formes ! Qui font que ces êtres-là et lui sont séparés au lieu d’être unis, soit dans le supramental ou sur les autres plans.

On ne peut plus se faire dire Richard, on ne peut plus se faire raconter des histoires !
On ne peut plus se faire conter des histoires par des extraterrestres qui viennent ici et puis qui nous disent : « Bon, et bien l’humain a été créé par nous autres, ça a été fait de même puis le Christ de même, et puis ce qui a fait ça c’est parce que nous autres on est des êtres, on est fait pareil. »
Ça ne marche pas de même !
Mais si on ne sait pas nous autres, comment veux-tu qu’on puisse juger de ce qu’eux autres viennent nous dire ? On ne sait même pas d’où ils viennent ces êtres-là !
Je te parle et puis je gueule depuis des mois à la radio et puis au téléphone pour vous faire comprendre qu’on ne peut plus se permettre de se faire dorer la pilule, soit par des extraterrestres ou des gars qui sont partis en baloune dans la lumière, faut qu’on sache par nous-mêmes, c’est pour cela que je dis toujours, croyez pas et ne me croyez pas, parce que je suis dangereux.

Richard Glenn :
Pour qui tu travailles Bernard ?

Bernard de Montréal :
Pardon ?

Richard Glenn :
Pour qui tu travailles Bernard ?

Bernard de Montréal :
Pour qui je travaille ?
Je travaille, j’aime ça.

Richard Glenn :
On ne saura toujours pas pour qui…

Bernard de Montréal :
Je suis libre. Je n’appartiens à personne.

Richard Glenn :
Les anges sont de purs esprits…

Bernard de Montréal :
Les anges sont de purs esprits… ouais.

Richard Glenn :
Donc font partie des forces occultes, des forces invisibles.

Bernard de Montréal :
D’accord.

Richard Glenn :
Dans une certaine hiérarchie, on sait qu’il y a les dominations, les trônes, les chérubins, les séraphins etc.

Bernard de Montréal :
Oui, d’accord.

Richard Glenn :
Donc il y a une hiérarchie dans le domaine de l’invisible ?

Bernard de Montréal :
Oui.

Richard Glenn :
Il y a ce que l’on appelle l’ange gardien.

Bernard de Montréal :
Oui… un autre.

Richard Glenn :
L’ange gardien nous aide à vivre dans la lumière, en nous protégeant des dangers.
C’est ça le guide astral ?

Bernard de Montréal :
Le terme ange gardien est un terme qui est ambigu, parce que dans l’ange gardien il y a soit l’ajusteur de pensée ou il y a des guides spirituels. Autrement dit, toi si tu meurs là, tu pourras bien décider de me contacter, et puis de m’aider dans mon évolution, mais tu n’es pas un ange gardien ! Tu étais un Ego en évolution qui est sur un autre plan et puis à cause ta position sur un autre plan et les liens vibratoires ou karmiques qui peuvent exister entre nous deux te permettent de communiquer avec moi pour m’ouvrir la Lumière un peu.

Richard Glenn :
Alors ça, appelle ça comment ?

Bernard de Montréal :
C’est un guide spirituel.
Faut pas mélanger les anges avec les guides, les gens pensent qu’ils sont en contact avec des ajusteurs de pensée, ils ne sont pas en contact avec des ajusteurs de pensée, ils sont en contact avec des guides spirituels, ce sont des Egos ! Ce n’est pas la fin du monde les Egos… et puis l’affaire de l’ange gardien il y en a deux sortes, c’est ambigu ce terme-là.

Richard Glenn :
Ça s’adresse à des enfants de 6 ans…

Bernard de Montréal :
Oui je le sais, qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Ce n’est pas moi qui l’ai écrit.

Richard Glenn :
Bon, il y avait cette histoire de l’enfer, et puis dans le petit catéchisme il y avait d’autres choses qui nous chicotent, une en particulier qui est très ésotérique, où est-ce qu’elle est… si je peux tomber dessus, c’est le phénomène de la transsubstantiation ou de la présence Christique dans le pain et le vin, - hoc est enim corpus meum - qui veut dire qu’à partir de là, par un procédé alchimique quelconque, le corps et le sang sont réellement dans l’hostie. C’est le sacrement qui contient réellement le corps, le sang et l’âme et la divinité de notre Seigneur Jésus-Christ.

Bernard de Montréal :
Faut comprendre çà, cette affaire-là !

Richard Glenn :
Explique.

Bernard de Montréal :
Le phénomène de transsubstantiation, c’est un phénomène qui fait que l’individu, lorsqu’il est dans un état spirituel avancé, lorsqu’il est à la recherche d’une grâce quelconque, est en harmonie vibratoire avec les forces spirituelles, et en étant en harmonie vibratoire avec les forces spirituelles, il reçoit, parce qu’il est tuné à ces forces-là, il reçoit par harmonisation, de l’énergie de ces forces spirituelles-là, et l’énergie qu’il reçoit, il la reçoit par le biais de sa psychologie égoïque, ou sa psychologie religieuse, il reçoit le pain et le vin.

Richard Glenn :
Mais pourquoi ?

Bernard de Montréal :
C’est un symbole, c’est un rite, et tous les rites font partie d’une magie quelconque, soit d’une magie blanche ou d’une magie noire. Celui-ci fait partie de la magie blanche, c’est un rite qui est valable parce que le rite permet à l’individu de concentrer son énergie émotionnelle, de centrer son énergie mentale, et de se mettre en harmonie vibratoire avec les forces qui sont en lui, de sorte que les centres s’ouvrent, il reçoit de l’énergie et il sent une paix : C’est ça, l’histoire de la transsubstantiation.
Faut aller au-delà de la forme ! Tu peux conter ça à un enfant qu’il mange la chair du Christ puis boit son sang, parce qu’un enfant ne comprend pas, puis il faut saisir son esprit en lui donnant une forme puissante, mais quand tu es rendu à un âge de maturité, il faut aller un petit peu plus loin, sans cela on deviendrait des…

Richard Glenn :
Quand on parle que c’est la présence réelle…

Bernard de Montréal :
C’est la présence réelle dans le sens que les énergies sont là, les énergies sont réelles et puis si les énergies passent c’est la réalité qui se manifeste dans l’être humain, au niveau de son esprit, au niveau de son mental, au niveau de son âme.
C’est un problème de forme ça !
C’est tout est problème de forme, que tu lises d’un bout à l’autre, c’est tout un problème de forme ! Tu peux lire tous les textes ésotériques du monde, c’est tout des problèmes de formes !

Richard Glenn :
Mais je ne vois pas….

Bernard de Montréal :
Il s’agit de voir au-delà de la forme, sans nier l’évidence de la valeur psychologique des œuvres qui sont présentées à l’être humain.

Richard Glenn :
Quelle est la plus belle prière que nous pouvons faire ? C’est le supramental… heu… c’est le Notre Père
Entrer en contact avec ce Supramental… qui est aux cieux, qui est dans le domaine de l’invisible, etc. etc. Que son règne arrive. Que sa volonté se fasse….

Bernard de Montréal :
C’est la plus belle prière parce que, dans l’état psychologique de l’être humain qui prie, à ce niveau-là de l’expression spirituelle en lui, cette prière là, fait que l’individu se réalise inconsciemment si tu veux, mais spirituellement, il se réalise dans l’unité de ce qui est en haut et de ce qui est en bas, c’est pour cela que c’est la plus belle prière.
Mais lorsque l’être humain est conscientisé, il n’a plus besoin de ça ! Il est déjà dedans, mais tant qu’il n’est pas conscientisé c’est une belle prière et la prière lui donne des forces, lui donne du courage, lui donne toutes sortes de valeurs morales, parce que ses centres s’ouvrent, automatiquement. Quand tu t’ouvres à l’Esprit, même si tu es inconscient, tu t’ouvres à quelque chose, quand tu t’ouvres à quelque chose, tu t’ouvres à quelque chose… Une très belle prière.

Richard Glenn :
Pourquoi dit-on que… là, c’est un autre sujet, la Sainte Vierge qui a réussi à faire faire au maître, le Christ des choses miraculeuses là à Cana avant que ce soit son temps - parce que le Christ lui avait répondu à la sainte Vierge : « Ce n’est pas mon temps, il n’est pas encore venu » - de changer l’eau en vin, et puis elle a réussi…
Pourquoi dit-on que la Sainte Vierge était Immaculée dans sa conception, c’est-à-dire qu’elle a été préservée du péché originel ? Etc. etc.

Bernard de Montréal :
La Vierge n’avait pas de karma, c’est ce que ça veut dire, un point c’est tout !

Richard Glenn :
On va réactualiser tout ça…

Bernard de Montréal :
Elle n’avait pas de karma la Vierge !
La Vierge quand elle est venue ici, elle s’est incarnée, elle ne s’est pas réincarnée…
Elle s’est incarnée, elle vient des plans supérieurs, elle vient d’une planète très évoluée, et elle est venue ici comme support moral pour le Christ, pour le Nazaréen, elle n’avait pas de karma, ces êtres-là n’ont pas de karma, ils viennent ici et quand c’est le temps, ils se font contacter et puis après ça, ça marche… elle n’avait pas de karma, c’est pour cela qu’elle n’avait pas de péché originel, le péché originel c’est le karma, elle n’en a pas.

Richard Glenn :
Que pense Bernard de ce qu’on appelle les Vertus ? Ce sont des attitudes humaines mais qui nous ramènent vers les plans spirituels.

Bernard de Montréal :
Les Vertus sont bonnes jusqu’à temps que vous deveniez conscient, quand vous êtes conscient vous n’avez plus de vertus : Ce sont des formes les Vertus !
Les vertus sont bonnes au niveau social, au niveau humain, ces choses-là servent, ces formes-là servent pour créer une société de plus en plus humanisante, il y a des gens qui ont des vertus et puis qui deviennent prisonniers de leurs vertus, et qui deviennent de plus en plus inconscients à cause de leurs vertus, alors, dans les vertus il y a du positif et du négatif, il y a des vertus qui sont bonnes et des vertus qui ne sont pas bonnes, il y a des gens qui font de l’overtime avec les vertus…

La vertu… un humain qui a trop de vertus il est débalancé… si tu es trop bon tu es cave !
Qu’est-ce que tu veux que je te dise ?
Si tu es bonnasse, et ben ce n’est pas une vertu c’est de l’ignorance !
Tu te fais vampiriser ! Les vertus il faut regarder ça avec une loupe.
Les vertus sont polarisées, alors il y en a qui font de l’over time, il y en a qui en font moins, et puis quand tu es juste au centre, à ce moment-là, tu es balancé, ta vertu est balancée, ça a du bon sens ta vertu, à ce moment-là c’est parce que tu es conscient, c’est la conscience qui va faire balancer ta vertu, établir de l’équilibre dans ta vertu.

La vertu ça fait partie des qualités et des défauts, et puis tant que l’humain a des qualités, tant que l’humain a des défauts il est inconscient, tu passes pour avoir des qualités, tu passes pour avoir des défauts, si tu as des défauts et des qualités c’est parce que tu es inconscient. Quand tu es conscient il n’y a plus de qualité et plus de défaut…

Richard Glenn :
Puisqu’on trouve dans le petit catéchisme quand même l’essentiel, Bernard m’a tout l’air d’être d’accord avec ça, mais il faut le réactualiser…

Bernard de Montréal :
Je suis d’accord avec toi.

Richard Glenn :
Le mettre à un autre niveau… heu, il y a quand même une question qui m’intrigue bien et qui m’énerve, la 5582, qu’on appelle en quatrième année : « Quel péché commettons nous quand nous manquons à une obligation qui est légère, mais que nous pensons grave, on commet un péché mortel, c’est-à-dire, on éteint la Lumière en nous »

Bernard de Montréal :
Comment…? Recommence

Richard Glenn :
Bon. Quelle sorte de péché on commet lorsqu’on commet… on manque à une obligation légère, ce qui devrait faire un péché véniel, c’est-à-dire qui fait baisser la flamme qui est en nous, baisser la Lumière qui est en nous, on pense que c’est mortel…

Bernard de Montréal :
Mouais…

Richard Glenn :
Mais ça ne l’est pas en réalité c’est léger.

Bernard de Montréal :
Mouais…

Richard Glenn :
Mais parce qu’on pense que c’est mortel, c’est mortel. C’est ce qu’on dit ici.

Bernard de Montréal :
Mouais, mouais…. ouais…

Richard Glenn :
Autrement dit, tout est dans la tête.

Bernard de Montréal :
Psychologiquement, si tu penses que c’est mortel, ça va être mortel, et puis tu vas souffrir mortellement, dans le sens que tu vas penser et puis tu vas t’en faire pour rien, mais karmiquement c’est une autre paire de manches, autrement dit si tu es ignorant tu ne vas pas être responsable karmiquement de ton ignorance, mais tu vas souffrir psychologiquement de ton ignorance.

Richard Glenn :
C’est ignorant que le feu brûle mais tu mets ta main dedans ?

Bernard de Montréal :
Ah mais on ne parle pas d’expérience physique, c’est important la différence.
Si tu penses que c’est un péché mortel toi, de faire une chose, et que si dans le fond c’est un petit péché véniel, c’est tout des valeurs relatives psychologiques, tu vas souffrir psychologiquement, tu vas penser que tu as fait un péché mortel jusqu’à temps que tu te réveilles un jour, mais karmiquement, tu n’as pas fait de péché mortel, comprends-tu ce que je veux dire ?
Bon, ben je vais l’expliquer d’une autre façon.

Une personne qui veut étudier son karma, qui veut voir si il y a du karma ou si les gens ont du karma, c’est facile tu n’as qu’à regarder au-dessus de la tête d’une personne, au-dessus de la tête des gens il y a un fil qui part, qui descend d’en haut là !

C’est un p’tit fil blanc très mince, et puis il monte ce fil-là, et puis si tu rentres en esprit dans ce fil-là, et puis que le gars il ne met pas en doute ce fil là, c’est parce que dans l’action, l’action de la personne il n’y a rien qui s’enregistre, quand il n’y a rien qui s’enregistre, il n’y a pas de karma.

Quand la petite fille-là, elle pense qu’elle fait un péché mortel, si tu regardes son fil, quand elle fait son action, tu vas voir que son fil il ne croit pas, il est neutre, c’est rien qu’un problème d’ignorance, mais elle, psychologiquement, elle peut en souffrir, d’ailleurs tous les gens dans la salle ont eu des périodes dans leur vie où ils ont souffert psychologiquement parce qu’ils ont pensé qu’ils n’étaient pas bons ou pas ci ou pas ça, qui aujourd’hui commencent à se réveiller et à réaliser qu’il n’y avait rien là, mais dans ce temps-là, ils ont souffert pareil ! Pourquoi ?
C’est ça l’ignorance…

Richard Glenn :
Passons les peines ici à la question 578 :
Ce sont des souffrances ou des purifications que nous devons endurer dans cette vie ou dans l’autre.

Bernard de Montréal :
Les quoi, les peines ?

Richard Glenn :
Les peines, les souffrances que nous devons endurer dans cette vie ou dans l’autre.

Bernard de Montréal :
Tu es tendu quand tu n’as pas compris ta leçon, quand tu as compris ta leçon tu n’es plus tendu, ça, ça a rapport avec la Conscience Supramentale, quand tu as compris la leçon tu as développé tes centres, tu ne peux plus souffrir.

Richard Glenn :
Alors le corollaire de la question que je te posais tantôt ce serait l’inverse : Quelqu’un qui pense que ce n’est pas grave, mais dans le fond c’est grave, va-t-il subir les conséquences de son acte ?

Bernard de Montréal :
Et non ! Il n’y a pas de conséquence, rien que de l’ignorance.

Richard Glenn :
Non, non, on parle du contraire là.
C’est grave, il pense que ce n’est pas grave, il fait pareil.

Bernard de Montréal :
Même chose ! Même chose, même barnum, c’est la même Loi de polarité qui s’établit.

Richard Glenn :
Donc il n’y a pas de Lois Cosmiques auxquelles on peut être infidèle ? Qu’on peut transgresser ? Tu peux faire comme tu veux dans le fond ça dépend de ce que tu as là.
Si tu transgresses une Lois Cosmique qui est grave, parce que tu ne sais pas qu’elle est grave, il ne se passe rien…

Bernard de Montréal :
Mais non ! C’est de l’ignorance !
Faut que tu sois conscient ! Et puis si tu es conscient tu ne le fais pas.

Richard Glenn :
Alors tu abrutis des êtres humains, tu en fais des militaires et tu les fais attaquer, et puis tu les fais faire n’importe quoi parce que tu les abrutis dans le cerveau avec des drogues.

Bernard de Montréal :
Exactement.

Richard Glenn :
Quand on pense comme ça on peut faire de grandes choses...

Bernard de Montréal :
Regarde ce qui se passe au niveau de la guerre !

Richard Glenn :
Alors d’après Bernard, il n’y a pas de Lois Cosmiques auxquelles on doit absolument se plier, si on…

Bernard de Montréal :
Tu ne peux pas te plier aux Lois Cosmique si tu n’es pas conscient, quand bien même tu serais bourré de vertus que ça te sortirait par les oreilles comme des champignons, si tu n’es pas conscient, tu ne te plies aux Lois Cosmiques, tu ne sais même pas que ça existe, faut que tu sois supramental pour te plier aux Lois Cosmiques, tu n’as pas le choix, si tu es inconscient tu ne te plies pas aux Lois Cosmiques, c’est ça l’involution, c’est pour cela qu’on est rendu aujourd’hui avec la civilisation qu’on a ! Les gens ne se plient pas aux Lois Cosmiques, les gens peuvent se plier à des lois morales qui sont établies par la société, qui sont établies par une religion, regarde l’ayatollah aux Indes, pas aux Indes… là-bas là… c’est un exemple, il est parti lui, les gens partent avec, et puis il y a toute une population… même chose, l’ignorance c’est l’ignorance.
Maintenant interpréter les textes, interpréter les textes c’est l’affaire des textes… ça fait partie de l’ignorance de l’humain, les Lois Cosmiques c’est au-dessus de ça !
Si un humain est inconscient… si un humain est inconscient il ne peut pas se plier aux Lois Cosmiques, mais il peut faire interférence avec les Lois Cosmiques, c’est ce qu’il fait tout le temps.

Richard Glenn :
Et il n’y a pas de conséquence à cela ?

Bernard de Montréal :
Ah il y a une conséquence, il y a un karma mondial qui s’accumule, on a des tremblements de terre, et puis on a des ci et des ça, la maladie, la peste et puis tout le mal qui existe.

Richard Glenn :
Alors comme autrefois on va se mettre à genoux tout le Game pour essayer d’enlever un peu le karma mondial…

Bernard de Montréal :
Non ! Ça ne change rien ça, ça c’est des histoires.

Richard Glenn :
La peste, les tremblements de terre, les ras de marée les orages c’est tout à cause de nous autres même les tremblements de terre, puis les volcans qui font irruption, alors on va jeter une vierge dans le volcan pour que ça arrête le volcan…

Bernard de Montréal :
C’est ce que les indiens faisaient…

Richard Glenn :
C’est ce qu’ils faisaient

Bernard de Montréal :
Ouais, salut Jean Yves ! (Rires dans la salle)

Richard Glenn :
Alors justement, comme Bernard on nous dit que nous en avons les conséquences dans le karma mondial par les tremblements de terre, les volcans, je trouve qu’on recule quand on entend ça.

Bernard de Montréal :
On recule où ?

Richard Glenn :
On recule à l’époque où les indiens faisaient ça !

Bernard de Montréal :
Ce n’est pas qu’on recule, on ne fait pas les mêmes actions, le karma mondial c’est là !

Richard Glenn :
C’est ce qui provoque les tremblements de terre et les éruptions de volcans ?

Bernard de Montréal :
Les tremblements de terre ! Toutes les conditions du mal planétaire c’est entièrement lié au passé et puis aux émotions humaines ! Va sur ces plans-là ! Tu vas voir comment et ce que c’est !
Regarde le karma qui est fait contre les animaux, je l’ai vu moi, le karma qui est fait contre les animaux, j’te dis que ce n’est pas un cadeau !
C’est là ça, et éventuellement ça s’accumule, ça s’accumule, ça s’accumule !
Et puis quand c’est trop, là ça nous tombe sur la tête et puis on le subit, on ne vit pas dans un vase hermétique nous autres dans l’espace-temps ! Voyons ! C’est là.

Richard Glenn :
On va faire un raisonnement vraiment très intellectuel :
Dieu s’est manifesté dans la création, il a commencé par les anges et les différentes hiérarchies dans le monde invisible, qui étaient plus près de la lumière, il s’en vient dans la matière, il commence par créer dans la matière ce qui est la différence entre la Lumière et les Ténèbres, ensuite les planètes et sur les planètes il met les minéraux, les végétaux, les animaux, et il finit par l’être humain, autrement dit ce qui est dans le plus bas de la manifestation de Dieu, ce qu’il y a dans le plus terre à terre, dans le plus bas, le dernier dans la manifestation de Dieu, ce ne sont pas les végétaux ni les minéraux, c’est l’homme, l’être humain.

Bernard de Montréal :
Ce n’est pas vrai ! Pas vrai…

Richard Glenn :
Parce que ça a été la dernière chose qu’il a faite et après il s’est reposé, et il se repose encore…

Bernard de Montréal :
Non, non, non, non, non !
L’homme c’est le premier être qui a été créé sur la planète !
Les animaux sont venus après, les plantes après et puis les minéraux après dans l’éthérique, les formes étaient créées dans l’éther avant !

La manifestation de la création s’est faite sur les autres plans avant que ça se fasse ici, c’est le dernier des plans qui a été manifesté ici !
Nous autres on s’imagine que c’est la matière qui à commencée et puis les plantes, puis les animaux puis les hommes, parce qu’il y a des relations de croissance entre les deux, un sert de support à l’autre, c’est évident !
Mais au niveau de la Création c’est l’inverse ! Au niveau de la Création c’est l’homme qui a été le premier créé, il a été créé durant la période Saturnienne ! Charly t’as une minute ? Hé ce n’est pas d’hier ! L’homme est venu avant les animaux, alors !

Richard Glenn :
Ben je lis la Bible… quand ils disent que…

Bernard de Montréal :
Ah ouais ben oui la Bible… tu lis la Bible ! Tu lis la Bible ésotériquement !
Tu ne l’as lit pas occultement !

Richard Glenn :
On commence par les animaux et Dieu vit que cela était bon et le jour suivant il créa les végétaux, et après ça les animaux…..

Bernard de Montréal :
La Bible c’est occulte ! Ce n’est pas exotérique !

Richard Glenn :
Mmm… D’accord.

Bernard de Montréal :
C’est occulte la Bible ! S’il y en a un qui le sait ici c’est bien toi !

Richard Glenn :
Oui mais, n’empêche que les gens se posent la question, c’est que quand tu vois la manifestation…

Bernard de Montréal :
Ouais ! C’est bon ! On est bon, enfin…

Richard Glenn :
Alors l’homme a été créé avant les animaux et les végétaux sur un autre Plan.

Bernard de Montréal :
Je vais te donner un autre exemple du danger de la compréhension exotérique de la Bible! L’interprétation psychologique qui fait plaisir à l’ego ! Il y en a, il y a des groupes religieux-là qui ont lu dans la Bible qu’à la fin des temps, les morts vont ressusciter là ! Bon…

Richard Glenn :
La résurrection de la chair…

Bernard de Montréal :
Ah ouais, ouais, ouais… la résurrection de la chair… ! Faut comprendre ce que ça veut dire cette affaire-là ! La résurrection de la chair : c’est la conscientisation de l’être humain !
L’être humain va devenir conscient !
Faut pas s’imaginer que les cadavres vont sortir des cimetières qu’on déneige ! (Le public rit).
Vous riez mais il y en ben qui pensent… Allons ! Faut comprendre la Bible ! C’est occulte la Bible !

Richard ! Les initiés ne peuvent pas conter leur vie ! Ils sont obligés de diminuer l’intensité de leur savoir à l’être humain et de suivre les étapes de l’évolution de l’être humain.
Là, l’être humain aujourd’hui est intelligent, il est prêt à connaitre, mais avant il n’était pas prêt à connaitre, la preuve c’est que le Nazaréen il est venu voilà 2000 ans il n’y a personne qui a rien compris, parce qu’on s’engueule encore la gueule aujourd’hui, là, il y a du monde qui commence à comprendre ce qu’il voulait dire, pourquoi ?

Parce qu’ils se conscientisent ! Faut être objectif, faut être raisonnable, faut pas infonder les valeurs qu’on a ! Moi j’aime bien ça la religion, c’est fantastique la religion, mais il faut comprendre les limites et ses besoins et la nécessité du pourquoi elle a été créée… !
Sans ça on s’en sortira jamais, on va être comme des braves vaches toute notre vie, et puis les gens aiment pas ça et puis les gens en ont peur, il y a du monde qui vient me voir et puis ils me disent :
« Monsieur Bernard ou Bernard, je vous aime ben gros, vous êtes ben fin et tout ça, mais je me tiens à distance… » Tiens-toi à distance, tu fais bien, tu fais bien !
Parce que si tu te rapproches trop de moi, moi je vais te parler, et tant que je te parle votre choix il est évident : Tu n’as pas de choix ! Tu n’as pas le choix, moi je vais toutes te les détruire les formes tu verras…
Fin de l’enregistrement.

ΩΩΩΩΩΩΩ

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