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hommage à Bernard de Montréal
13 mai 2016

Apocalypse : questions-réponses

Bernard de Montréal

Richard Glenn 025b


Apocalypse Questions - réponses (suite de Comprendre l'Apocalypse de Saint Jean)


Richard Glenn :
Le sujet de la conférence est « l’Apocalypse » et ici une question : il y a 7 trompettes, fait-on appel à 7 sons vibratoires, à des vibrations différentes, que pensez-vous des vibrations ?

Bernard de Montréal :
Les 7 trompettes représentent la manifestation dans le temps des activités des 7 rayons.
Les rayons sont les forces de la Lumière qui agissent sur la Planète et qui agissent selon un calendrier qui est Cosmique et qui est caché à l’être humain.

Naturellement les forces de la Lumière, le rayonnement de ces forces sur les plans inférieurs jusqu’au niveau de la Galaxie matérielle, sont manifestées par la voie vibratoire.
Alors il y a une relation, d’ailleurs il y a une relation à tous les niveaux entre la vibration et l’énergie qui sert à faire avancer dans le temps les évolutions des différentes Planètes.

Richard Glenn :
Vous avez déjà parlé du son de l’atome.

Bernard de Montréal :
Le son de l’atome c’est la fréquence… c’est lié à la fréquence de l’Intelligence atomique, l’Intelligence atomique c’est la qualité vibratoire de la nécessité créative de l’atome en relation avec le matériel atomique qui l’entoure. Lorsqu’un atome doit avoir une certaine intelligence, c’est-à-dire que lorsque l’atome doit devenir quelque chose pour remplir une fonction évolutive sur le plan matériel, il a une certaine intelligence, de sorte qu’il a une certaine fréquence, de sorte qu’un humain qui est dans le pouvoir de l’atome, qui a le pouvoir sur l’esprit qui est le pouvoir de l’intelligence dans la matière, peut altérer l’intelligence de l’atome par vibrations et la transmuter.

Richard Glenn :
Une autre question : Je pense que le temps est venu de parler de la magie noire et de la magie blanche

Bernard de Montréal :
La magie noire c’est l’activité occulte de l’être humain lié au pouvoir, que recherche l’être humain pour le bénéfice de son corps de désir.

La magie blanche est son opposé, c’est la manifestation spirituelle de l’énergie par le biais de la volonté animique de l’être humain, mais en relation avec le corps spirituel de l’être humain, et les deux sont en opposition, dans le cas de l’une, dans le cas de la magie noire, le pouvoir est exercé par l’Ego, dans le cadre de la magie blanche le pouvoir est exercé à travers l’Ego et non pour son bénéfice personnel.

Richard Glenn :
Vous nous dites que la Lumière nous cache la réalité, donc justement il nous faut y croire pour y avoir accès.

Bernard de Montréal :
Pour avoir accès à quoique ce soit dans le Cosmos, il ne faut croire à rien.

Richard Glenn :
Croyez- vous ?

Bernard de Montréal :
Non ! Croire est une attitude intellectuelle psychologique de l’être humain qui fait partie de l’intellect de l’être humain et qui s’assied sur les données antérieures de l’évolution de l’intelligence de l’être humain, et un être humain qui croit à quelque chose ne peut pas s’affranchir de cette croyance sur le plan émotif et automatiquement se barre la porte à l’infinité de son esprit.

Croire en quelque chose c’est déjà freiner l’intelligence Universelle en soi.
Mais croire à quelque chose, fait partie de l’évolution spirituelle de l’être humain et c’est nécessaire.
Jusqu’à temps que l’être humain change de plan vibratoire, pour entrer dans le supramental où on ne croit à rien puisqu’il n’y a rien à croire, il n’y a rien à penser. Pour croire en quelque chose, il faut penser à quelque chose, si tu ne penses à rien, comment veux-tu croire en quelque chose ?

Richard Glenn :
L’inconscient, est-ce le supramental…

Bernard de Montréal :
(Coupant la parole) Mais je fais remarquer que ne pas croire en quelque chose ne veut pas dire nier quelque chose ! Ce n’est pas parce que l’on ne peut pas croire… exemple, suivez ma pensée : ce n’est pas parce que l’on ne peut pas croire à Dieu que Dieu n’existe pas…
On sait ! Quand on sait ! On est en dehors de la croyance, mais on n’est pas en dehors de la réalité.
Mais lorsqu’on est dans la croyance et qu’on croit à Dieu, on le rapetisse, et si on le rapetisse, on ne le comprend pas bien, on le comprend émotivement et à ce moment-là on crée en soi des formes, et ces formes retardent notre intelligence.

Richard Glenn :
L’inconscient, est-ce le supramental ?

Bernard de Montréal :
Non, non, non… l’inconscient c’est l’activité astrale de l’être humain sur son esprit.
L’inconscient c’est terrible, l’inconscient c’est l’activité astrale de l’être humain ! Etre inconscient c’est participer à l’inconscient, on se sert beaucoup de ce terme aujourd’hui en psychologie parce que c’est un terme qui permet à tout le monde de fourrer tout dans un sac quand ils ne comprennent rien. (Amusements dans la salle)
On ne comprend pas, alors c’est de l’inconscient. Tout se comprend.

Richard Glenn :
L’âme est vibration, d’où vient cette vibration qui l’a créée ? Et pourquoi ?

Bernard de Montréal :
L’âme n’est pas vibration, elle est vibratoire, dans son mouvement vers l’être humain elle est vibratoire, l’âme est énergie. L’énergie qui s’exécute sur un plan inférieur devient vibratoire, autrement dit, elle est manifestée en tant que vibration.
Qui a créé la vibration ?
Vous me demandez qui a créé l’énergie… Qui a créé l’énergie ?
Qui a créé l’énergie ?
Une énergie.
L’énergie crée l’énergie, et tout est énergie, sa foi !

Mais comme le commencement n’existe pas et la fin non plus, le problème de création n’existe pas, mais pourquoi on pense qu’il y a une création ? Parce qu’on pense à un début, pourquoi on pense à un début ? Parce qu’on craint qu’il y ait une fin, et pourquoi on craint qu’il y ait une fin, parce qu’on ne sait pas qu’il n’y en a pas, et si on savait qu’il n’y en a pas, on n’aurait pas le problème de l’origine ou de la fin et automatiquement le problème de la création n’existerait pas et cette question non plus.
(Rires et applaudissements)

Richard Glenn :
Que doit faire le simple terrien pour devenir un être pur ?
PS : Entre parenthèses, manger beaucoup de carottes ? (Rires dans la salle)

Bernard de Montréal :
Il ne s’agit pas de devenir pur, il s’agit de devenir intelligent : En devenant intelligent on s’épure.
(La salle rit de nouveau)

Richard Glenn :
Qu’est-ce que le Corps de Réserve Planétaire ? Leurs mandats, leurs fonctions, leurs tâches ? leurs droits ? Et le nombre d’individus en faisant partie ?

Bernard de Montréal :
Vous ne travaillez pas pour Statistics Canada ? (La salle rit encore)

Richard Glenn :
Non, mais sur le même papier de l’autre côté c’est : l’Ecole Polytechnique.

Bernard de Montréal :
Ah ! Ça se rapproche.
(La salle s’amuse beaucoup et Richard Glenn également).
Le "Corps de Réserve Planétaire" c’est un corps si vous voulez, autrement dit c’est une quantité définie, limitée, d’individus en évolution, qui servent les forces de la Lumière et qui s’occupent d’organiser dans le Cosmos les Planètes en évolution et les races en évolution et qui donnent constamment de l’information pour que se poursuive l’évolution selon des formes et des normes de plus en plus parfaites.

Le corps de réserve c’est un… c’est difficile d’établir des analogies avec l’organisation matérielle humaine, mais le « corps » de réserve est comme un genre de Sénat, c’est un Sénat qui exécute, c’est un groupe exécutif qui permet, lorsque le temps vient, surtout dans les temps qui viennent, à l’être humain de travailler directement avec lui, et les humains travailleront d’ailleurs avec le "Corps de Réserve Planétaire" et lorsque les humains travailleront avec ces êtres-là, ces humains seront en pleine possession de leur pouvoir, c’est-à-dire que les humains auront le pouvoir, la capacité de se servir de leurs énergies et de transmuter sur le plan matériel les formes qui ont cessées d’être nécessaires à l’évolution pour en créer d’autres.

Le "Corps de Réserve Planétaire" c’est un corps qui fonctionne un peu comme un genre de corps policier dans ce sens qu’il guide les destinées des Planètes, des systèmes, ce sont des êtres qui ont un très grand niveau d’intelligence et de perfection et qui comprennent très, très parfaitement la nature de l’Esprit. Et comprenant la nature de l’Esprit très parfaitement comme ils le comprennent, ils peuvent facilement engendrer dans l’être humain un très, très haut niveau vibratoire pour qu’ils puissent travailler avec eux.

Richard Glenn :
L’amour est-t-il une chose positive pour l’être humain ? Ou n’est-ce qu’une forme qui nuit à l’évolution de l’être humain parce qu’aimer fait appel à sa sensibilité ?

Bernard de Montréal :
L’amour de l’être humain c’est personnel ça fait partie de sa personnalité, l’être humain ne sait pas ce qu’est l’Amour.
L’Amour est un Principe comme l’Intelligence un Principe, comme la Volonté est un Principe.
Si l’être humain réalise que l’intellect n’est pas l’Intelligence, on peut dire aussi que l’amour qu’il connaît n’est pas l’Amour, comme on peut dire que la volonté qu’il connaît n’est pas la Volonté.
L’amour de l’être humain est une dégradation de l’Amour Universel, comme l’intelligence de l’être humain est une dégradation de l’Intelligence Universelle, comme la volonté de l’être humain est une dégradation de la Volonté Universelle.
Lorsque l’être humain sera conscient et qu’il sera dans la voie Universelle, la Volonté Universelle, l’Intelligence Universelle, l’amour qu’il connaît aujourd’hui disparaîtra de sorte que l’être humain ne pourra plus être en amour.
(Murmures dans le public)
Ni spirituel, ni astral ou passionné.
Mais il ne faut pas penser à ces choses, surtout les femmes… (Rires dans le public).

Richard Glenn :
Bernard dit qu’on ne peut pas comprendre, la religion catholique nous dit de ne pas essayer de comprendre les mystères, en fin de compte, est-ce qu’on comprendra un jour ?

Bernard de Montréal :
Oui. Quand je dis que… qu’est-ce que je dis ?
(Rires du public)

Richard Glenn :
Bernard dit qu’on ne peut pas comprendre.

Bernard de Montréal :
Bon.
J’ai dit qu’on ne doit pas essayer de comprendre, de se casser la tête pour rien, on a simplement à attendre, un jour on comprend, quand on comprend on comprend, mais on essaie trop de comprendre et en essayant de trop comprendre on se casse la tête pour rien, on perd de l’énergie, faut pas perdre de l’énergie, avec le temps quand c’est le temps, ça vient.

D’ailleurs ce n’est pas par le biais de l’être humain que s’installera en lui la conscience Supramentale, la conscience Supramentale descend d’en haut, elle ne vient pas d’en bas.
La conscience spirituelle vient d’en bas, le désir spirituel de l’être humain, la recherche spirituelle de l’être humain, ça fait partie de son corps de désir, ça fait partie de sa personnalité, ça fait partie du rapport entre l’âme qui s’éveille en lui et l’Ego qui essaie de s’ajuster à cette vibration, mais la conscience vient d’en haut et s’installe dans l’être humain avec fracas, quand c’est le temps, lorsque l’être humain est prêt, à ce moment-là on comprend, qu’il n’y a rien à comprendre.
Mais cela ne veut pas dire qu’on ne comprend rien ! (La salle s’amuse)

C’est une attitude ça, comprendre. C’est une attitude de l’intellect de l’être humain. Quand l’être humain n’a plus d’intellect, n’a plus de pensées, ne peut plus penser, n’a plus de mémoire, l’attitude n’existe plus, à ce moment-là le phénomène - parce que c’est un phénomène humain, essayer de comprendre - disparaît.
C’est le même problème qu’on avait tout à l’heure avec la question, éliminez les raisons ou les causes de la question et la question disparaît.

Richard Glenn :
La Terre est influencée par des êtres Plutoniens, est-ce à dire qu’il y a eu de la vie sur Pluton ?

Bernard de Montréal :
Pluton, il y a de la vie sur Pluton mais pas une vie matérielle. Pluton est une planète très avancée au niveau de la science Cosmique, de la compréhension des lois Universelles, mais c’est une Planète qui est totalement satanique.

Richard Glenn :
Bernard, parlez-nous du maître Omraam Mikhaël Aïvanhov.

Bernard de Montréal :
Non. Ce n’est pas de mes affaires. C’est un grand bonhomme.

Richard Glenn :
Bernard, parlez-nous de Claude (Raël) Vorilhon.

Bernard de Montréal :
Ce n’est pas de mes affaires. (Nouveaux rires dans la salle)
Apprenez par vous-même à connaître ceux que vous rencontrez, à comprendre ceux que vous rencontrez, à mesurer ceux que vous rencontrez, je ne suis pas moi, journaliste.

Richard Glenn :
L’être humain de la 7ème race sera-t-il comparable à l’extraterrestre qui nous visite ou bien sera-t-il supérieur à lui, ou inférieur ?Est-ce que l’être humain ne sera pas supérieur aux autres êtres de son Univers à cause de l’amour qui est en lui, cet amour qu’il n’a pas encore compris et développé ?

Bernard de Montréal :
J’ai déjà expliqué que la Planète Terre est la Planète de l’amour, non pas dans le sens spirituel, c’est à dire qu’elle l’est dans le sens spirituel mais dans le sens spirituel la Planète Terre n’est pas la Planète de l’amour, c’est plutôt la Planète de la haine.

Mais occultement dans le futur, dans l’avenir, la Planète Terre sera la Planète de l’Amour, parce que l’être humain comprendra le principe de l’Amour, et c’est lorsque l’être humain comprendra le principe de l’Amour qu’il sera en position de puissance dans le Cosmos, vis-à-vis des extraterrestres ou des êtres qui viennent d’autres Galaxies, parce que l’être humain aura eu de par son expérience la capacité d’entrer en contact direct avec la Lumière, sans passer par le biais du corps astral, lorsqu’en fait, ces êtres-là dans leur expérience, sont en contact avec la Lumière mais en relation avec un corps qui n’est pas le corps astral mais qui est un cervelet placé derrière la tête, et c’est ce petit cervelet, ce petit aspect d’eux-mêmes qui leur permet d’entrer en communication avec l’Intelligence Universelle.

Mais ils n’ont pas suffisamment exploité au cours de leur évolution les 3 Principes, Volonté, Amour et Intelligence, ensemble, ils les ont exploités au niveau de la Volonté et de l’Intelligence, et l’être humain viendra plus tard pour leur faire comprendre le 3ème Principe qui est le Principe de l’Amour et la réunion de ces 3 Principes dans l’être humain, permettra à l’être humain de créer un pont entre la Hiérarchie et lui-même et ces êtres-là de poursuivre leur évolution.

Richard Glenn :
Alors ici une petite question : une personne demande est-ce que je deviens crackpot ? (terme anglais : cinglé, fou.) J’entends des voix qui me disent des choses…

Bernard de Montréal :
Bon, j’ai déjà dit que plus le temps avance, plus le corps Mental de l’être humain est infusé, plus les humains sentiront, entendront des voix, deviendront sensibles à une sorte d’intelligence en eux, percevront des sons, percevront des choses, ça fait partie de l’évolution de la conscience de l’être humain, mais je dis, et j’ai déjà mis en garde beaucoup de personnes de bien écouter, mais de ne jamais croire.

Vous entendez des voix ? Écoutez !
Qu’est-ce qu’on vous dit ? Si cela fait votre affaire ? Tant mieux !
Si cela ne fait pas votre affaire vous les mettez de côté.
Parce que, si vous prenez au sérieux ce que vous entendez, vous augmentez automatiquement le rapport vibratoire avec ces voix, vous augmentez en vous la condition de réceptivité, éventuellement vous devenez une radio qui ne peut plus se contrôler, et éventuellement vous pouvez souffrir de ce que vous recevez dans votre mental , et comme vous n’avez pas encore le discernement vous ne pouvez pas être sûr de ce que vous recevez et automatiquement cette insécurité peut miner votre émotif, éventuellement vous mener ou vous mettre dans des états psychologiques qui sont pénibles, je vous le dis - quitte à vous, de le voir ainsi ou autrement - apprenez à ne pas croire ce que vous entendez dans votre tête, mais à écouter, et si cela fait votre affaire, si c’est intelligent, si c’est bon pour vous, tant mieux.
Si cela ne fait pas votre affaire, si ce n’est pas intelligent, vous laissez passer et vous ne vous attachez pas à ce que vous recevez, et si vous vous habituez à faire cela, vous développez une résistance dans le Mental qui vous amènera éventuellement à ouvrir le centre Mental supérieur et éventuellement il y a aura un ajustement dans ces formes pensées et éventuellement vous aurez une communication à un autre niveau qui vous permettra d’entrer petit à petit dans l’Intelligence Universelle.

Parce que l’Intelligence Universelle est totalement au-delà de l’Astral, elle est au-delà totalement du monde spirituel, de sorte que l’être humain qui entre en contact avec la Conscience Pure doit passer par des échelons, des phases, qui lui permettent de détruire toutes les formes qui sont dans le monde astral, dans le monde des esprits, pour entrer directement en contact avec l’Intelligence Universelle.

Alors c’est une tâche qui n’est pas facile et ceux qui vivent cette expérience doivent apprendre à ne pas croire ce qu’ils entendent, à écouter ce qu’ils entendent, et à prendre seulement ce qu’ils veulent, et à mettre de côté ce qui leur nuit psychologiquement, et ce n’est pas facile, et ceux qui vivent cette expérience sont, représentent exactement ce qui se produira à une échelle très vaste dans les années qui viennent, c’est le début de cette conscientisation de l’être humain, mais entre la Lumière et l’Ego il y a tout le plan astral de l’être humain, qui est rempli de formes, d’illusions qui sont faites de pensées subjectives et d’émotions subjectives, alors c’est tout un travail.
C’est justement pourquoi je fais des séminaires : Pour faire comprendre aux gens, les illusions de ces mécanismes-là, pour que les gens puissent entrer dans leur propre intelligence et passer outre suivant les interférences qui viennent du monde des esprits.
Faites attention au monde des esprits !

Richard Glenn :
Est-ce que la transmutation va se produire en faisant un travail rationnel ou autre que l’être humain doit exécuter ou alors est-ce que ça se fait de façon tout à fait naturelle ?

Bernard de Montréal :
La transmutation de l’être humain se fera à l’insu de l’être humain. A l’insu de l’être humain… Quand bien même vous travailleriez 24h par jour à réciter des formules pour vous transmuter, vous allez vous spiritualiser, et vous allez vous disconnecter. (Réactions dans la salle)
Je vous dis que la Conscience Supramentale descendra sur la Terre, c’est ainsi qu’Aurobindo l’a dit d’ailleurs. La Conscience Supramentale descendra sur la Terre, descendra dans l’être humain, ce n’est pas l’être humain qui montera au ciel pour aller la chercher.
Alors ceux qui font de l’overtime (Heures supplémentaires) et qui veulent devenir des spécialistes de la transmutation, vous êtes mieux d’aller chez le dentier !

Richard Glenn :
Bernard a subi une mutation, est ce qu’en laboratoire, en chirurgie, on pourrait provoquer cette forme de mutation, en travaillant sur le cerveau, les longueurs d’ondes etc. ?

Bernard de Montréal :
Un jour vous comprendrez que les œuvres de la Lumière ne sont pas l’œuvre des techniciens.
La Lumière c’est la Lumière. La technique c’est la technique.
Il ne faut pas confondre l’âme, les activités de l’âme, avec les activités mécaniques de l’intelligence de l’être humain.

Richard Glenn :
Est-il juste de dire que pour avoir une vie spirituelle, il faut délaisser avant tout une vie personnelle ? Alors il faut donc vivre obligatoirement une vie personnelle.

Bernard de Montréal :
En tous cas je vais répondre à la question, même si elle est posée difficilement.
Qu’est-ce que c’était la question ?

Richard Glenn :
- « Est-t-il juste de dire que pour avoir une vie spirituelle il faut délaisser la vie personnelle ? ».

Bernard de Montréal :
La question est mal posée, ce que le type veut dire c’est : - « Est-ce qu’une vie spirituelle implique automatiquement de délaisser une vie personnelle ? ».
Alors, effectivement c’est ce que les gens pensent, et c’est ce que les gens ont fait depuis toujours. Les gens ont laissé la vie personnelle, la vie matérielle pour se spiritualiser. Ça, ça fait partie de l’évolution de la personnalité.

Pour que la personnalité évolue, pour qu’elle sorte du matérialisme crasse, il y a une période de spiritualisation et dans ce processus-là, il y a automatiquement une perte d’intérêt de la personnalité pour les choses matérielles, mais, dans le processus de conscientisation, l’être humain passe d’une phase, il passe du matériel au spirituel, il dépasse le spirituel et il revient dans le matériel.

C’est-à-dire, qu’ensuite, ce qui est en haut est en bas. Au milieu, ce qui est en haut est en bas.
Et l’être humain qui ne comprend pas ceci, devra œuvrer dans l’évolution spirituelle jusqu’à ce qu’il comprenne qu’à un certain moment tous les plans doivent être axés, engendrés dans la Lumière, que ce soit matériel, ou astral ou mental, quelque plan que ce soit.
Ce qui est en haut est en bas.

Le reste c’est une attitude, alors si vous êtes dans le personnel et que vous voulez vous spiritualiser et bien automatiquement avec le temps vous allez perdre l’intérêt du personnel, mais un jour si vous entrez dans l’Intelligence Pure, automatiquement vous reviendrez dans le personnel mais d’une façon consciente. Comme vous pourrez trafiquer avec le spirituel d’une façon consciente, mais vous ne serez jamais affecté ni par le personnel, ni par le spirituel, parce que vous serez en dehors de la forme.

Richard Glenn :
Tu dis que l’être humain a un cerveau qui lui… euh, attendez… - « Tu dis que l’être humain a un cerveau lui permettant de se programmer seul, veux-tu dire que si l’être humain est dans son esprit, il a le pouvoir sur les évènements de sa vie ? ».

Bernard de Montréal :
Lorsque l’Ego est dans son esprit, lorsque l’Ego a été transmuté, changé, lorsque l’ego est devenu esprit, lorsque l’Ego est devenu Lumière, lorsque l’Ego a la capacité d’engendrer en lui-même la propre satisfaction de ce qu’il sait, de ce qu’il est, automatiquement il détermine sa destinée, il connaît sa destinée et avance dans le mouvement de sa destinée, il n’est plus influencé par les Planètes et il détermine tout ce qu’il doit faire parce qu’il sait tout ce qu’il doit faire parce qu’il peut tout ce qu’il doit faire.

Richard Glenn :
- « Le suicide est-t-il un moyen de se détacher de la forme ? ».

Bernard de Montréal :
Le suicide est une infection de l’esprit de l’être humain par des forces spirituelles négatives.
Ce n’est jamais l’Ego qui se suicide, ce sont des forces sur les autres plans qui l’influent et qui, à cause de son manque de volonté, l’amènent à la destruction du corps matériel pour qu’il se retrouve de l’autre côté en compagnie de ces mêmes êtres qui l’ont amené au suicide.

Richard Glenn :
- « Pourquoi ne voulez-vous pas dire qui est la "Bête" et qui porte le chiffre 666 ?
Ai-je raison de dire que c’est le Pape ? Que c’est le Pape ! ».

Bernard de Montréal :
S’il n’y avait pas le Pape il y aurait de plus grandes "Bêtes". (Murmures du public)
Le Pape, c’est le Pape.
Et je viens… et puisque je suis en public, je veux très bien déterminer devant vous, que le Pape fait partie des forces spirituelles de la Terre, et puisque je suis aussi devant vous, je veux bien déterminer que l’être humain découvrira la "Bête" lorsqu’elle se manifestera sur le plan matériel, et elle se manifestera d’une façon qui est totalement incomprise et aveugle pour le moment à l’être humain.
Il ne faut pas voir dans ce qui est bon, le mauvais, il faut remarquer que des êtres comme le Pape, les êtres de l’Eglise, les membres de l’Eglise, sont des êtres qui maintiennent sur la Planète Terre suffisamment de vibrations spirituelles pour permettre que l’être humain évolue lentement, vers une sorte de spiritualité, une sorte d’harmonie, ce sont de grands êtres ces hommes-là, ce n’est pas de la religion que viendra le mal, mais le mal se servira de la religion pour s’implanter dans l’esprit des êtres humains.

Richard Glenn :
- « Ça fait 4 Papes qu’on n’utilise plus la tiare ? Pie 12 a été le dernier à l’utiliser.
Est-ce que notre destin est fixé dès notre naissance et pouvons-nous sortir de notre karma ? ».

Bernard de Montréal :
Oui, nous devons sortir de notre karma, et notre destin est connu depuis longtemps mais notre plan de vie est fixé à la naissance, et lorsque nous devenons conscientisés et que nous entrons dans la conscience du Supramental, automatiquement nous connaissons notre destin et nous pouvons vivre notre vie à l’intérieur de ce destin.

Il y a une différence très importante - et j’explique ça pour ceux qui s’intéressent à ces questions d’un point de vue philosophique - il y a une différence très importante entre le plan de vie de l’être humain et la destinée, je développe cela pour ceux qui s’intéressent à ces questions.
Il y a une différence très importante entre le plan de vie de l’être humain et la destinée, un être humain connaît sa destinée lorsqu’il connaît son intérêt vital, lorsqu’il est en harmonie vibratoire avec l’âme, parce qu’à ce moment-là, l’âme lui fait connaitre par vibrations et puissance créative ce qu’il doit faire, mais l’être humain ne connaît pas cette relation avec l’âme tant qu’il n’est pas en union avec elle, et lorsqu’il n’est pas en union avec elle, il vit une période d’années, soumise à un cycle d’incarnation que vous appelez le plan de vie.

Le plan de vie autrement dit, est proportionnel à l’ignorance de l’être humain, tandis que la destinée de l’être humain, telle que je l’explique est liée à l’intelligence de l’être humain.

Lorsque l’être humain connaît sa destinée il connaît tout de lui-même, il est dans l’intelligence de l’âme, lorsque l’être humain vit existentiellement son plan de vie il ne connaît pas son plan de vie, il subit expérientiellement ce plan de vie, pour le bénéfice de l’âme, jusqu’au jour où suffisamment apprivoisé dans la Lumière de l’âme, il puisse contrer les remous de l’âme et engendrer en lui la Volonté, l’Amour et l’Intelligence qui lui donnent la clarté, la lumière nécessaire à comprendre sa destinée et à exécuter sur le plan matériel les voies de l’âme en lui, par le biais de son esprit, qui est monté en vibrations d’intelligence .

L’être humain doit connaitre tout ! de lui-même, et lorsqu’il connaît tout de lui-même il peut connaitre les autres, lorsqu’il connaît les autres il connaît l’humanité, lorsqu’il connaît l’humanité il travaille avec des plans qui sont supérieurs à l’intellect, l’être humain est grand, mais il est plus grand qu’il ne perçoit, parce qu’il est fait de plusieurs principes, et lorsque tous ces principes sont en action harmonisante, l’être humain devient créateur, c’est la nouvelle race de l’être humain qui viendra, le passage de l’être humain au surhumain.

Richard Glenn :
- « Bernard, comment pouvez-vous vous supporter ? ».

Bernard de Montréal :
Comment je puis me supporter ?

Richard Glenn :
Avec toutes les connaissances qui vous ont été transmises.

Bernard de Montréal :
C’est parce que je ne pense pas.
J’ai la tête en paix parce que j’ai la tête vide.
Je ne pense pas, elle est là ma sécurité.
Si je pouvais penser, à ce moment-là je serais extrêmement abasourdi par toutes ces pensées, je ne pense pas, alors je suis bien, je suis comme un idiot. (Rires du public)

Richard Glenn :
Un simple en esprit…

Bernard de Montréal :
Un simple, je suis simple en esprit, dans ce sens que je ne me casse pas la tête, je ne pense pas, je ne peux pas penser, autant il est facile de… autant il est difficile pour vous de ne pas penser, autant il est difficile pour moi de penser.
Je serai terrorisé de penser, c’est terrible de penser… (Nouveaux rires)

Richard Glenn :
Avez-vous déjà pensé dans votre vie ?

Bernard de Montréal :
Mais oui j’ai pensé quand j’étais à l’Université, je pensais, avant le contact je pensais comme tout le monde, et juste avant le contact je pensais… bouh…je faisais de l’over time ! (Rires du public)
Et lorsque le contact s’est fait, on m’a fait une petite opération… quand je dis une petite opération, je veux dire ils m’ont coupé çà là !
(Réactions amusées dans la salle)

Richard Glenn :
Vous avez une petite fille ?

Bernard de Montréal :
Oui elle… (Rires du public.)

Richard Glenn :
Ce n’est pas ce que vous pensiez…

Bernard de Montréal :
Ah ...c’est bien ! Lui, il pense pour moi.

Richard Glenn :
Et c’est comme cela qu’on fait de l’over time ! (Rires)
Question : - « Dieu a-t-il besoin de Satan ? ».

Bernard de Montréal :
Ah ! Ce n’est pas une question ça !
Quand on demande si Dieu a besoin de Satan c’est une imposition sur son mental personnel, d’une curiosité qui est transcendantale à l’esprit de l’être humain. Ce n’est pas une question ça.
Pour que ce soit une question, il faudrait dire – « Est-ce que Dieu est plus important que Satan ? » ça ce serait une question. (S’adressant à Richard Glenn) Qu’est-ce que c’était la….

Richard Glenn :
La question était….

Bernard de Montréal :
Dieu a-t-il besoin de Satan.
Bon j’ai répondu de la façon dont j’ai répondu parce que je devais le faire, mais je vais répondre à, en parenthèse, la question qui n’est pas une question.
Mais je vais dire ceci, que, ce que vous appelez Dieu ce n’est pas Dieu.

Ce que vous appelez Dieu, c’est le concept total de votre psychologie humaine vous permettant émotivement de rassembler vos émotions dans une forme pensée, qui vous permet de centrer votre intelligence et vos désirs dans une projection mentale de ce que vous pouvez concevoir comme infinité, alors ce n’est pas Dieu, mais c’est le plus loin que vous pouvez aller, c’est pour cela que l’être humain emploie le terme Dieu, ça c’est une partie de ce que je veux dire.
Je vais rassembler ensuite.

C’est la même chose avec Satan : On a introduit dans l’esprit de l’être humain un concept qui sert à polariser l’énergie de ses émotions, pour qu’il puisse vivre négativement ou positivement pour le bénéfice de l’évolution, pour le bénéfice de l’âme, mais en fait, Satan n’est pas ce que l’être humain pense, de la même façon que Dieu n’est pas ce que l’être humain pense et regardez ce qui se passe, si Satan n’est pas ce que l’être humain pense, et que Dieu n’est pas ce que l’être humain pense, et que l’être humain se sert du concept de Satan et du concept de Dieu, pour essayer de comprendre la relation de la polarité, la relation entre la Lumière et le mal, automatiquement l’être humain décharge en lui une grande énergie émotionnelle qui le spiritualise et qui crée en lui la crainte !

Et la création de cette crainte provient justement de la polarité du concept de Dieu et de Satan, du concept positif et du concept négatif, c’est pour cela que je dis qu’un jour, l’être humain devra cesser de penser, parce que lorsqu’il aura cessé de penser, il ne sera plus lié à la polarité des mots qui crée en lui une émotion qui tend à le spiritualiser, et qui tend aussi à créer en lui une sorte d’anxiété, une sorte de crainte. C’est pour cela qu’à ce moment-là, l’être humain lorsqu’il n’aura plus le pouvoir de penser sera capable de savoir tout, parce qu’il ne pourra plus souffrir de rien.
Mais tant que l’être humain ne peut pas savoir tout parce qu’il pense, il est forcé de souffrir de quelque chose, et même la question telle qu’elle est posée fait partie de la recherche spirituelle, de la curiosité intellectuelle et philosophique de l’individu.

C’est pour cela que c’est très difficile pour moi de faire comprendre aux gens qu’un jour, l’être humain quand il est dans le Mental supérieur, n’a plus ces questions à l’esprit, parce que ces questions font partie de son mental inférieur, elles ne font pas partie de la réalité du Mental supérieur.

Si on me demande - « Qu’est-ce que Dieu ? » je vais répondre pour vous, je ne réponds pas pour moi, si on me demande – « Qu’est-ce que Satan ? » je réponds pour vous, je ne réponds pas pour moi. Qu’on me demande quoique ce soit, je réponds toujours pour celui qui me demande, je peux répondre d’une façon à une personne et je peux répondre d’une autre façon qui est parallèle, à une autre, parce que le savoir crée la vibration, la vibration engendre le mot, le mot contient l’énergie, l’énergie véhicule la connaissance, pour celui qui est dans l’énergie, la connaissance est sans importance, il est simplement un canal, de sorte que la question qu’on demande est importante pour celui qui la pose parce qu’il la pose, lorsqu’il a cessé, lorsqu’il aura cessé, lorsqu’il ne pourra plus la poser parce qu’il sera plus dans le Supramental, cette question n’existera plus, et automatiquement il sera dans un autre état de conscience.

Toutes les questions ! Toutes les questions à l’infini que se pose votre intellect peuvent être répondues ou peuvent nécessiter une réponse, et de temps à autre je réponds à une question pour le bénéfice de la population, mais je dois toujours le faire pour engendrer dans l’esprit de l’être humain quelque chose d’autre, pour forcer l’intellect à se déshabiller, à lâcher prise, à prendre ça aisément pour qu’entre l’énergie du Supramental, sans cela, si je répondais à toutes les questions je cultiverai en vous la forme, mais pour vous faire plaisir je réponds à la question.
Qu’est-ce que c’était la question ?

Richard Glenn :
Dieu a-t-il besoin de Satan ?

Bernard de Montréal :
Alors je vais répondre ainsi :Les Forces de la Lumière, les Forces absolues, la Trinité des Trinités, l’Absolu des absolus, le troisième absolu, crée dans les mondes en évolution, une polarité.
C’est-à-dire que ce que vous appelez Dieu, les « aleph » si vous voulez, les « aleph » de par leur manifestation créent, engendrent de la Lumière, et lorsqu’en dehors de la Lumière se manifestent des Intelligences, ou de l’Intelligence, ou de la Volonté, ou de l’Amour, il y a une polarité de créée, il y a un négatif créé, et ceci fait partie du mouvement vers les espaces absolus de la Lumière, mais toujours en vertu d’un retour qui doit être fait, de sorte que le mal ou le négatif, ou le Satan qui est engendré à cause du mouvement en dehors de la Lumière, sert éventuellement la Lumière parce qu’il doit retourner à Elle.

Et comment il sert la Lumière ?
En créant des formes qui se conscientisent, qui donnent naissance à l’être humain, qui permettent éventuellement à l’être humain de revenir à l’âme qui est la Lumière, éventuellement on peut dire que le mal sert, parce que le mal fait partie de l’évolution.
Si le mal n’existait pas la forme n’existerait pas !
Si le négatif n’existait pas, la forme n’existerait pas.
Quand on parle du mal Cosmique ou qu’on parle du mal Planétaire on a toujours un petit sentiment de moralité, mais lorsque vous pensez à l’électricité, vous pensez à des termes positifs ou à des termes négatifs, vous n’avez pas de sentiment de moralité, de bon ou de pas bon !
C’est négatif, c’est positif, c’est simplement une différenciation, c’est une polarité !

Au niveau de Dieu, tel que vous le concevez et au niveau de Satan c’est la même chose.
Mais ces questions-là sont une perte de temps pour l’être humain, parce que ça fait partie de la recherche, ça fait partie de l’effort de compréhension, et je vous dis, il n’y a rien à comprendre, tout est là. L’être humain doit apprendre dans les temps qui viennent à reposer son esprit le plus possible pour laisser pénétrer en lui sa propre intelligence et travailler avec cette intelligence, et cesser de travailler avec cet Ego qui ne cesse de rechercher, de rechercher, de rechercher, de rechercher… faut prendre un break dans la vie, les gens se fatiguent l’esprit pour rien, les choses sont tellement simples, et je ne dis pas ça parce que j’épouse la spiritualité des choses, je n’épouse pas la spiritualité des choses comme je n’épouse pas la matérialité des choses, je n’épouse rien, c’est pourquoi je puis facilement comprendre la relativité de la spiritualité des choses et de la matérialité des choses, il faut qu’il y ait un équilibre entre le spirituel et le matériel pour entrer dans la synthèse qui est la Conscience Pure, de sorte que ces questions-là qui sont à l’infini, ne servent plus à augmenter en nous l’anxiété du désir de connaitre.

Richard Glenn :
Je me demande si je dois poser d’autres questions… (Réaction amusée de la salle)
C’est signé Marguerite : - « S’il vous plait, avec mon cœur, je désire entendre parler de l’incarnation ou de la réincarnation, que charrie nombre de sectes, ce qui me rend perplexe, où est la Lumière ? ».

Bernard de Montréal :
La lumière est en soi-même.

Richard Glenn :
Alors …

Bernard de Montréal :
Si vous avez ….
On parle de l’incarnation et de réincarnation, je vous dis que tout ce que l’on a appris dans le passé sert à l’involution, sert à la spiritualisation de l’être humain, lorsque l’être humain sera conscientisé, ces concepts ne serviront plus à son esprit.
Si on me demande franchement – « Est-ce que la réincarnation existe ? Je dis oui ».
Si on me demande franchement – « Est-ce que la réincarnation existe ? Je dis non ».
Pourquoi ?
Parce que la réincarnation, elle existe simplement lorsque les Egos ont le désir de reconnaître leurs faiblesses.

Lorsque les Egos ont le désir spirituel de reconnaître leurs faiblesses, automatiquement il y a réincarnation, autrement dit il y a replongée dans la matière.
Mais lorsque les Ego n’ont plus de faiblesse, parce qu’ils sont sur le plan de l’âme, ce retour dans la matière ce n’est plus une réincarnation, c’est une descente dans la matière, c’est une incarnation pour l’exécution sur un plan quelconque des destinées de l’humanité ou des destinées d’un monde de la Galaxie.

Le concept de la réincarnation est bon philosophiquement, parce qu’il permet à l’être humain de se rattacher à un cycle qui lui permet de découvrir psychologiquement, spirituellement, une sorte d’éternité dans le devenir de son évolution. C’est pour cela que le concept de réincarnation est très bon pour l’être humain, je vous dis, tous les mots sont des prisons, tous les mots !

Et un jour les humains le sauront, mais en attendant les humains peuvent vivre très bien dans cette prison, et la réincarnation est un concept qui figure au tableau de cette réalité, il ne faut pas s’imaginer que la personnalité que l’on a quand on vit dans un corps matériel et que ce corps matériel se désagrège et qu’on retourne sur les autres plans, que cette personnalité a la même réalité, elle n’a plus la même réalité, parce que sur les autres plans, la personnalité qui était ici dans la matière, qui était agencée par l’astral et le mental et le vital, lorsque l’être humain est rendu sur le plan astral ou sur le monde des esprits, cette personnalité est devenue unidimensionnelle, et étant devenue unidimensionnelle elle est simplement un regard sur la mémoire, de sorte que l’être humain qui meurt n’a qu’un regard sur sa mémoire, les Egos qui étudient leur plan de vie, leurs erreurs ou qui cherchent à structurer leur plan de vie d’avenir, n’ont qu’un regard sur leur mémoire !

S’ils avaient plus que leur regard sur leur mémoire, ils seraient automatiquement dans leur mémoire et étant dans leur mémoire ils seraient dans la mémoire de l’âme et étant dans la mémoire de l’âme ils seraient sur le plan de l’âme, mais ce n’est pas le cas !

Ce n’est que lorsque l’Ego est sur le plan de l’âme qu’il a accès à la mémoire de l’âme et c’est lorsque l’Ego a accès à la mémoire de l’âme qu’il s’incarne, qu’il descend dans la matière s’il le veut, pour intégrer le haut et le bas, pour intégrer l’âme à l’Ego, pour permettre la fusion entre l’âme et l’ajusteur de pensée, et à ce moment là la réincarnation n’existe plus !

La réincarnation n’existe que lorsqu’on y croit, lorsqu’on n’y croit pas elle n’est plus nécessaire à ce qu’on y croit !
Ce que l’être humain ne comprend pas, c’est que l’être humain ne comprend pas comment il pense, et pourquoi il pense, et ce qu’il fait avec ses pensées.
Ce que l’être humain fait avec ses pensées c’est simplement retarder le temps de sa conscientisation, tant que l’être humain pense il retarde le temps de sa conscientisation !

Tant qu’il pense il retarde le temps de son savoir ! Ça fait partie de l’involution, je donne raison à l’être humain, à l’humanité de penser, c’est normal, mais je dis que lorsque la fusion se fait entre l’âme et l’ajusteur de pensée qui est la manifestation de l’Intelligence Universelle à travers l’âme pour le bénéfice de l’Ego, pour le bénéfice créatif de l’Ego, l’être humain n’a plus besoin du passé, et s’il n’a plus besoin du passé, à quoi lui sert le concept de l’incarnation ?

Tout nous sert si on s’en sert ! Si on ne se sert pas de quelque chose il ne nous sert plus, et s’il ne nous sert plus on ne s’en occupe plus ! Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ?
Je pourrais continuer, continuer pendant de semaines, ça ne changerait rien.
On a une fausse conception de la réalité, parce qu’on n’est pas dedans, on a une fausse conception de la compréhension parce qu’on est en dehors de la réalité, et on a une fausse conception de la sagesse parce qu’on est spirituel !
Et ayant une fausse conception de la sagesse parce qu’on est spirituel, on devient prisonnier de la sagesse pour devenir, nous, spirituellement contrôlés par les forces émotives qui sont en nous et qui nous empêchent d’avoir accès à notre propre savoir !

Lorsqu’on a accès à notre propre savoir, on n’a plus besoin de savoir rien !
Parce que notre propre savoir n’est pas notre savoir personnellement mais est le Savoir !
Et lorsque l’être humain au niveau de la personnalité est désengagé du Savoir parce qu’il est dedans, à ce moment-là les questions ne sont plus là !
Les questions ne servent plus à balancer son émotionnel avec son mental - qui est à la source de toute discussion, de toute recherche chez l’être humain - et c’est pour cela que l’être humain qui entre dans le Supramental doit subir le choc de la pénétration de l’énergie qui sépare le mental de l’astral et qui prend l’énergie émotionnelle à tous les niveaux, dans toutes les façons d’expérience, et le transmute au niveau mental, et c’est pour cela que l’être humain cesse de penser, il cesse de penser parce qu’il n’a plus besoin de penser !

Qu’est-ce que vous avez besoin de penser si quelqu’un au bout de la ligne vous parle et vous réponds à toutes vos questions ? Mais ça, ça fait partie de l’involution, dans l’évolution aussi à terme c’est comme cela que ça se passera. En attendant, moi je réponds à vos questions pour vous faire plaisir, mais toujours en ajoutant quelque chose pour vous faire comprendre et vous faire bénéficier du fait que je vois les choses d’une façon qui est au-delà de la personnalité, de l’Ego, de l’intellect, pour que vous puissiez au moins bénéficier de ma présence sur la scène au lieu de revenir chez vous, baladé par des exposés philosophiques qui ne serviraient qu’à emmagasiner en vous des concepts et à faire de vos esprits des matelas.

Richard Glenn :
Je continue avec d’autres questions (dit Richard Glenn amusé)
Y a-t-il un enfer et sous quelle forme ?

Bernard de Montréal :
Je vais vous dire une chose, je vais prendre un jus de pomme rouge, moi …
Si vous pouvez partir ce soir avec seulement ce que je vais vous dire, je serais content, pour vous.
Vous comprendrez un jour, les humains, que tout ce que l’être humain a appris dans le passé, a servi dans le passé, pour asservir son Ego, sa personnalité, pour que se développe son intellect, c’est la seule raison, il n’y en a pas d’autre !

Dans l’avenir, l’asservissement de son intellect pour le développement de son Ego, pour le développement de ses émotions, pour le développement de ses idées, sera totalement transmuté, changé, et l’être humain ne sera plus ce qu’il est aujourd’hui, le surhumain ne sera plus humain, l’être humain n’aura plus de relation psychologique dans l’avenir avec ce que l’humain ancien connaissait, ce dont il vivait, ce dont il existait.

L’être humain de demain, celui qui entre aujourd’hui en génération, qui entre lentement en transformation, comprendra que la conscience Supramentale est totalement au-dessus des intérêts de l’être humain, que le Savoir qui est l’expression de cette Conscience, est totalement au-dessus des intérêts de l’être humain, et lorsque l’être humain se sera habitué à la désintoxication de son intellect et de son émotif pour la connaissance, il sera automatiquement élevé en vibrations, dans le Supramental et sa vie sera totalement autre.
Le concept de l’enfer c’est un exemple.
Le concept de l’enfer est un concept qui a été créé, pour l’exécution sur le plan matériel, d’une forme qui devait permettre à l’humanité de vivre dans la polarité de ses émotions, pour maintenir l’être humain en ligne.
Vous ne vous imaginez pas que les initiés qui sont venus dans le passé, ont expliqué les raisons de ce qu’ils disaient, parce que l’être humain n’était pas entré dans le temps de son intelligence, l’être humain était entré dans le temps de sa spiritualité !
Il n’était pas dans le temps de son intelligence, alors que l’être humain n’avait pas le droit à l’Intelligence, l’être humain n’a jamais eu le droit à l’Intelligence dans le passé !
Parce que son Ego devait se développer, le corps Mental inférieur devait se développer, alors on lui donnait des règles, on lui parlait d’une certaine façon, mais on n’éclaircissait pas les données de ce que l’on disait, alors pour le mot enfer c’est la même chose.

Alors dans le centre de la Terre il y a un monde, dans les éthers inférieurs de la Terre il y a un monde, il y a des êtres, qui font partie d’une dimension où des formes très peu évoluées sont en activité, mais ces formes qui sont très peu évoluées et qui sont en activité, qui sont en fait l’enfer occulte de la Planète, ne peuvent servir à la conscience de l’être humain, que lorsque ce dernier est rattaché, vibratoirement, émotivement et mentalement à leur réalité.
Lorsqu’un être humain se détache mentalement et émotivement d’une réalité, il n’appartient plus à cette réalité, et automatiquement cette réalité cesse d’être réelle.

Parce que, dans le monde de l’Esprit, les activités des formes, le mouvement des formes, la dynamique des formes est totalement différente du monde de la matière, sur le plan de la matière si le verre est sur la table il doit être sur la table pendant un certain nombre d’années jusqu’à ce qu’il y ait totale désintégration si personne n’y touche, mais dans le monde de l’Esprit, lorsque la forme n’a plus de puissance sur l’être humain, elle cesse d’exister, et la seule raison du pourquoi il existe dans le centre de la Terre, dans cet astral ténébreux ce que l’être humain appelle l’enfer, c’est qu’il y a sur la Planète Terre, des humains qui contribuent constamment à générer la matière émotive astrale qui devient le soutien de ces formes peu intelligentes.

L’être humain contribue au maintien du mal Planétaire à cause de ses émotions, à cause de son intellect, et pendant des siècles et des siècles et des siècles crée un karma ! Crée un nuage ! Parce que la pensée et l’émotion sont des réalités, ce sont des choses physiques, elles ne sont pas tangibles à l’œil matériel mais elles sont tangibles à d’autres yeux, à un autre niveau de conscience, et c’est de ces formes pensées et émotives que se nourrissent ces êtres-là.

Et lorsque l’être humain sera dans la Conscience Pure, dans la conscience totale, après la 7ème race, ces êtres, ce centre d’énergies sera totalement détruit. Mais tant que l’être humain n’aura pas la capacité de maintenir parfaitement son lien avec l’énergie de l’âme, tant que l’être humain ne sera pas en fusion avec la Lumière, ces êtres seront là, parce que leur travaux sont essentiels, leurs travaux font partie de la polarité qui doit exister dans le Cosmos.

Alors, est-ce que l’enfer existe ?
Je réponds, il y a des dimensions astrales négatives qui constituent, qui répondent, au concept de l’enfer que nous avons, mais l’être humain lui, doit être suffisamment conscient pour ne pas être affecté au niveau de l’émotion ou de l’intellect par l’existence de ces choses, sinon il risque de développer encore de l’énergie, de créer autour dans ses corps subtils, des substances qui servent à ces êtres-là.

Je n’ai rien contre la connaissance occulte ou la connaissance spirituelle, ou la connaissance biblique lorsqu’elle est comprise, mais lorsqu’elle n’est pas comprise, elle empêche l’être humain de se désengager de l’émotion de cette connaissance.
Ce que j’ai contre la connaissance, c’est l’émotion qui se rattache à cette connaissance.
Si l’être humain n’avait pas d’émotion rattachée à la connaissance… je… je serai beaucoup plus libre de parler de certaines choses, mais à cause de l’émotion de l’être humain, je me refuse de parler de certaines choses et je dis : si vous voulez savoir telle chose, mais lisez le dans les livres et ça fera partie de votre expérience, mais je ne peux pas attiser dans l’être humain, l’émotion de la forme, l’émotion qui se loge dans son intellect, parce que ça fait partie d’un travail qui doit être totalement libéré, libre de cette activité.
Il y a trop dans le monde d’aujourd’hui, de liens entre l’émotion et le mental de l’être humain, pour des choses qu’il ne comprend pas et qu’il veut savoir, c’est pour cela que beaucoup d’hommes et de femmes souffrent de ces choses, et c’est pour cela que je dis, apprenez donc une fois pour toutes à lâcher prise pensez-y au lieu de vous casser la tête, casser la tête, casser la tête, casser la tête !
Un jour l’être humain comprendra, et il y en a beaucoup dans la province de Québec qui commencent à comprendre. Si je rends service à la population c’est à ce niveau-là, même si les gens ne peuvent pas encore me comprendre, mais au moins je l’ai dit.
L’enfer, le ciel….popopopopop….popopop….

C’est pour cela que la Conscience Pure, le Supramental, la descente dans l’être humain se fait quand c’est le temps et ce n’est pas sous l’empire de l’être humain, la spiritualité c’est sous l’empire de l’être humain, la recherche philosophique c’est sous l’empire de l’Ego, mais la Conscience Supramentale n’est pas sous l’empire de l’Ego et lorsqu’elle se fait dans l’être humain, l’être humain doit en subir les conséquences et l’Ego est préparé pour ceci pour cette expérience.
Tout le monde recherche, recherche… rechercher quoi ?!

Je ne dis pas que vous n’avez pas raison de rechercher ! Je vous dis qu’un jour vous comprendrez qu’il n’y a rien à chercher… Le chien ne cherche pas, l’être humain avec son intellect il cherche, plus on est intelligent plus on cherche, et un jour on doit perdre notre intelligence, notre intellect, alors quand on devient autre, on ne cherche plus, il n’y a rien à chercher, on communique avec les plans et on sait ce qui se passe, c’est aussi simple que ça.
Vous vivez avec la recherche et puis la recherche et la recherche, il y en a qui ont les yeux grands de même ! Des vrais… comment vous appelez ça vous-mêmes déjà ?.... Des frisbees ! (Rires du public)
Les soucoupes volantes, les extraterrestres, les ci, les ça, je me demande pas pourquoi les gens sont mélangés, je comprends, moi aussi je serai mélangé.

Richard Glenn :
Mais quel est le rôle de Bernard dans tout ça ?

Bernard de Montréal :
Ce n’est pas drôle ! Je parle au monde. Hein… lui il cherche un rôle… (Rires du public) Tout le temps ! Tout le temps, tout le temps, tout le temps ! Quel est le rôle de Richard Glenn ?

Richard Glenn :
Hein ?

Bernard de Montréal :
Un rôle… on est bien là ! On se parle !… pas assez ?… alors si on parle de rôle à ce moment-là, les gens commencent à faire de l’over time ! St Bernard ! Ces autres-là ! (Rires du public)
(Bernard de Montréal pouffe également) Vous pouvez bien rire. On est une forme, on est bien, il n’y a que ça qui compte… le rôle !
C’est au boutte (c’est le pied) l’Ego, l’intellect ! C’est au boutte ! C’est au bout du boat, et puis toi quand tu débarques c’est au boutte, au bout du boat, t’es bien !… (La salle éclate de rire)
Il n’est pas Saint Glenn avec moi ! On le chambre ?

Richard Glenn :
Ça y est, il va me tomber dessus… ! (Rire de Richard Glenn)

Bernard de Montréal :
Même si on parle, qu’on rit qu’on s’amuse, ça fait partie de toute l’affaire, pas de l’enfer puis du diable et du Christ !

Fin de l’enregistrement.

ΩΩΩΩΩΩΩ

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